ISRAËL, TOURNEURS MAJEURS, CRISE MAJEURE — Et l’OMS et l’ONU pour nous tenir en laisse

2024-10-02 18:04:00

Marzia di Sessa sur 9MQ interviewe Fulvio Grimaldi

– Télégramme https://t.me/canale9mq/21541

-Facebook https://fb.watch/uYM95lnqHR/

A partir des 200 missiles iraniens qui ont fait le contraire de ce que veulent nous faire croire les maîtres inattaquables de toutes les guerres et de tout le terrorisme, c’est-à-dire qu’ils ont frappé lourdement, nous traitons des renversements et des retournements de la réalité, avec la vérité qui y est attachée, qu’une personne très reconnaissable pratique depuis quatre-vingts ans au Moyen-Orient. Des revirements pourtant qui sont devenus, dans notre région du monde, les piliers, la condition sine qua non de l’exercice du fascisme du troisième millénaire. Tout cela, grâce essentiellement au soutien des chanteurs unis de la turlupinatura.

La pêche dans le cas des fables anciennes, la tromperie des cultivés et des penchants a commencé il y a quelques millénaires et semble destinée à polluer systématiquement notre espèce au profit de ceux qui l’inventent. Jusqu’à cette fin du monde que nous proposent tous les monothéistes (croisons les doigts et touchons tous les fers à cheval restants).

Il arriva qu’une tribu égyptienne de chèvres du désert se laissa prendre au piège par ce fou Akenaton et son étrange invention d’un dieu unique. Ayant évaporé, dans l’indignation générale et l’intelligence répandue, ce projet pharaonique, pas du tout innocent, de réduire tout, possession, domination, commandement, à un unicum et de revenir à la pluralité démocratique des goûts et des dieux, cette tribu de bergers s’est retrouvée choqué. Mal accueillie par les gens de bon sens et de saines traditions, elle décide de quitter le pays et de s’aventurer au-delà de la mer. Rouge. Où trouver de nouveaux pâturages et sur de nouveaux sommets venteux pour rencontrer votre chef unique avec ce dieu unique. Malgré les nostalgiques, dans la plaine désertique, rassemblés autour du veau d’or que ceux-ci, dans un souci de survie hic et nunc, s’obstinaient à préférer au dieu des compensations vagues et farfelues.

Il va sans dire à quel point la tromperie a été usée et même détruite par l’ouragan de la réalité : des agresseurs structurels et laïques qui sont apparus sur scène comme des victimes déchirées, obligées à contrecœur de se défendre contre les terroristes. Autant de victimes malgré tout, car elles ont été soutenues par les maîtres de la matière vivante et inerte, de sorte qu’ils ont fait à l’espèce des choses que personne n’a jamais faites dans toute l’histoire, d’un Zeus en colère à Jack l’Éventreur.

Ils ont pratiqué la lutte contre les terroristes en tirant sur leur propre peuple tant qu’ils n’étaient pas kidnappés, ou en tirant dans la tête de vingt mille enfants, ou encore en attaquant, pour la troisième fois en 42 ans, une ville voisine parce qu’elle a osé s’engager dans la défense de ces enfants. Sans parler des nombreux assassinats ciblés de ceux qui, depuis Obama, sont considérés comme des suspects et des terroristes qu’il faut éliminer. Surtout s’ils dirigent un trop grand nombre de peuples.

Tout cela est possible grâce aux enfants de chœur qui, en chœur, chantent cette liturgie, aussi moralement valable et historiquement vraie que les bouffonneries d’Akenaton. Il faut qu’ils le comprennent, ce qui est en jeu c’est leur fortune et leur fortune, celle que leur confère cette forteresse de la lutte contre le terrorisme que l’on surnomme les maîtres de tout, comme les gnomes de Zurich, comme les gnomes des banques et des fonds d’investissement américains. L’essentiel est qu’il s’agisse de vampires géants déguisés en gnomes bon enfant. Cela fait partie de l’arnaque.

C’est ce que l’on voit de grand, ou plutôt de colossal, si l’on écarte un peu le Voile de Maia. Ensuite, il y a les turlupinaturines, petites, mais puantes : Quand Israël bombarde, il ne reste que les os et les éclats à exhiber au monde entier : ça donne une leçon. Quand les autres tirent, tout finit sur le Dôme de Fer et cela ne perturbe même pas le sommeil des enfants d’Israël. Ces barbares ignorants n’ont jamais rien à voir avec cela. Tout comme le peuple élu du grand livre des tromperies primordiales était à l’abri des gens détestés par Yahweh, des Amalécites, des Cananéens et bien d’autres, jusqu’aux Palestiniens.

Puis la réalité se charge d’identifier, dans la matinée israélienne du mercredi 2 octobre, d’énormes cratères, des décombres de bases militaires (comme déjà le 14 avril dernier, lors de la première réponse iranienne), de gigantesques éclairs d’impact, des incendies sur des horizons entiers. Pour mieux comprendre ce qu’ils révèlent, ne regardez pas La 7, ni le Corriere, ni le cucuzzaro du Palazzo Chigi. Toute source extérieure à l’archipel de l’OTAN suffit.

Et ainsi vous verriez l’immunité, l’invulnérabilité, l’inviolabilité des Mazinger installés en Palestine finir comme un château de sable. Vous découvrirez les centaines de cibles touchées par les missiles du Hezbollah, par les missiles hypersoniques des Yéménites (autres que les “rebelles”, ils sont la nation), par les missiles balistiques des forces patriotiques irakiennes, par les bases américaines touchées en Syrie. . Tout cela caché pour défendre le mythe de la supériorité insurmontable, celle qui doit paralyser et faire résigner les gens. Et pendant ce temps, le port de Haïfa, l’aéroport de Tel-Aviv, le quartier général de l’unité terroriste d’élite « 8200 » et le quartier général du Mossad à Glilot brûlent. Les images circulent.

Un non-État à l’agonie

Les victimes de l’État non étatique (en raison du manque d’exigences du droit international et humain) et ceux qui y résistent saignent comme ils n’ont jamais saigné en si peu de temps et d’espace. Mais le non-État court vers l’autodestruction. Les occupants perdent du sang plutôt que du sang. Au cours des trois premiers mois de l’année, 500 000 personnes l’ont déjà abandonné. Un demi million sur 9, surtout des jeunes, la classe technocratique, indispensable à l’efficacité militaire et terroriste (et les Palestiniens dans le monde sont 12,5 millions, 5 attendent de revenir)).

La sécurité, économique et sociale, est compromise. Moody’s, l’agence de notation de la dette, a abaissé la note d’Israël de A2 à Baa1 et déclare que « le risque est élevé et les perspectives restent négatives ». Les ouvriers palestiniens qui ont fait fonctionner l’industrie de la construction, vitale pour la colonisation, sont interdits ou éliminés. Erdogan dément le ciment, le seul qui soit parvenu aux constructeurs. L’industrie cède ses dirigeants et sa main-d’œuvre à l’armée, la recherche et l’industrie sont plongées dans la crise.

Depuis le massacre du 7 octobre par des tirs amis, la croissance économique a connu un net déclin. Le PIB a déjà chuté de 21% au cours des trois premiers mois de l’année dernière. Les amis de JP Morgan tablent sur une croissance de 1,4%. Les investissements étrangers ont disparu et ne sont certainement pas compensés par des dépenses de « défense » incontrôlées. Des dizaines de milliers d’entreprises ont fermé leurs portes parce qu’il n’y a rien à faire ni avec qui faire, étant donné que les employés doivent exterminer les Palestiniens et les Arabes. Demain Iraniens, qui sait. Ce qui reste dans les coffres va aux colons des colonies, mais l’élite économique travaille à la manière libanaise : loin d’ici, l’argent, vers des dépôts sûrs.

Ilan Pappè a écrit « L’effondrement du sionisme ». Un effondrement qui peut être retardé par Biden, Trump, Larry Fink, Elon Musk, Yahvé… Mais jusqu’à quand ? Ils font sûrement le calcul des coûts et des bénéfices. Même s’ils ne le disent pas. La tromperie doit tenir le coup.



#ISRAËL #TOURNEURS #MAJEURS #CRISE #MAJEURE #lOMS #lONU #pour #nous #tenir #laisse
1727981758

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.