« J’ai toujours eu tendance à marquer »

Er hat es schon wieder gemacht. Schnell, präzise, verlässlich. Wer genau hingeschaut hat an diesem Montagvormittag, sah seine Eindrücke bestätigt: Hier ist ein junger Mann mit und ohne Ball damit beschäftigt, erstklassig seiner spielerischen Arbeit nachzugehen, der sich für die kommende Saison viel vorgenommen hat.

Igor Matanovic, seit 2021 schon bei der Eintracht unter Vertrag, will bei seinem originären Arbeitgeber reüssieren. Nach Leih- und Lehrjahren in Hamburg und Karlsruhe soll in Frankfurt nun der Startschuss in eine erfolgversprechende Zukunft folgen. Der in Hamburg geborene Deutsch-Kroate, mittlerweile 21 Jahre alt, gehört zum Kreis der hoffnungsvollsten Jungprofis, die bei der Eintracht nach möglichst viel Spielzeit lechzen.

Da sitzt er also. Zwischen zwei Trainingseinheiten hat sich Matanovic zum Wochenstart Zeit genommen, um ein erstes öffentlichkeitswirksames Mediengespräch zu absolvieren. Seine Aussagen gehen live in den Eintracht-Kosmos. Wer ihn persönlich im Proficamp unweit des Stadions beobachtet, wie er sich auf dem Podium bewegt und präsentiert, sieht einen jungen Stürmer, der weiß, was er will.

„Ich spüre die Wucht und Energie dieses Vereins“, sagt er. „Ich will mein Herz auf dem Platz lassen. Dafür stehe ich mit meiner Körperlichkeit, Wucht und Balkan-Mentalität.“ Starke Worte. Das Selbstbewusstsein, auch eine Klasse höher ein gefragter Mann zu sein, hat sich Matanovic beim KSC geholt.

In 32 Punktspielen hat der 1,94 Meter große Angreifer in der zurückliegenden Saison 14 Tore erzielt. Sie waren mit ausschlaggebend dafür, dass die Badener in der Endabrechnung Tabellenfünfter geworden sind. Was Matanovic auch sein kann: ein Vorbereiter. Sieben Assists unterstreichen das, was er über sich selbst sagt: „Als Wandspieler binde ich die gegnerischen Innenverteidiger. Ich kann Bälle festmachen.“

Cela se fait avec une technologie de pointe, comme le confirment les dernières impressions d’entraînement dans son nouvel ancien club, l’Eintracht. Dès le début de la phase de préparation estivale, Matanovic a brillé comme buteur. Et lundi, il a également montré qu’il se sentait particulièrement à l’aise dans la surface de réparation. « J’ai toujours eu la volonté d’atteindre le but. « C’est inné et c’est quelque chose avec lequel je suis né », dit-il avec assurance. “Je photographiais déjà des vases dans mon appartement quand j’avais quatre ans.”

Son plan pour la suite : « Je vais toujours sur le terrain pour tout donner. Et même quand je ne joue pas, je veux montrer à l’équipe qu’elle peut toujours compter sur moi.” Bien sûr, Matanovic sait que l’entraîneur ne peut pas garantir “que j’aurai 30 matchs”.

Néanmoins, il a décidé d’imiter ses deux modèles Zlatan Ibrahimovic et Mario Mandzukic. Matanovic a fait l’éloge des deux botteurs lundi. « Les buts marqués par Ibrahimovic étaient de classe mondiale », dit-il, avant d’ajouter : « Quel combattant, ce Mandzukic. Il s’est toujours donné à 120 pour cent pour son pays et son club.

Matanovic veut assurer plus de concurrence dans l’offensive de l’Eintracht. L’attaquant sait que Hugo Ekitiké et Omar Marmoush sont actuellement en tête dans la lutte pour les places régulières – également grâce à leurs bonnes performances la saison dernière – et, malgré tout son engagement envers la patrie de ses parents, il se considère davantage comme un “Hamburger Jung ” que comme ” ” Frankfurter Bub ” ressent comment il répond à une question correspondante. La clé, dit-il, est le zèle, l’engagement et l’engagement. « Vous transformez votre passion en métier. C’est un privilège », déclare Matanovic.

C’est aussi un privilège d’avoir reçu le numéro de maillot qui sera désormais visible sur son dos dans les stades. Matanovic a postulé pour le « 9 » – « et je l’ai effectivement reçu. Elle était libre. » Sa première réaction : « Même si ce n’est qu’un numéro, j’ai immédiatement appelé mes parents. »

Reste à savoir si l’homme au numéro sur son maillot obtiendra de nombreuses apparitions pour ce poste d’attaquant très particulier. Ce sera l’entraîneur Dino Toppmöller qui en décidera. Le travail d’Igor Matanovic est de fournir autant d’arguments valables pour le plus de temps de jeu possible.