Jamie Leweling propulse l’équipe DFB en quarts de finale de la Ligue des Nations contre les Pays-Bas

Und an seinem kleinen Jubiläum hat er nun etwas erreicht, woran sich seine beiden Vorgänger vergeblich versucht hatten. Mit dem 1:0 gegen die Niederlande hat eine deutsche Mannschaft zum ersten Mal die Vorrunde der Nations League erfolgreich hinter sich gelassen. Platz zwei ist schon vor den beiden abschließenden November-Spielen sicher, und somit ein Platz im Viertelfinale, das im März mit Hin- und Rückspiel ausgetragen wird.

Was gegen die Niederlande erst nach einem Blitzstart aussah, benötigte zwar doch noch einen gewissen Anlauf für die Deutschen und ihren Torschützen Jamie Leweling (64. Minute) in dessen erstem Länderspiel. Aber auch wenn einer bemerkenswert kraftvollen ersten Hälfte eine etwas zurückhaltendere zweite folgte, war es ein allemal verdienter Erfolg gegen den Rivalen, der lange ein schwaches Bild abgab und sich erst spät noch wehrte.

Modisch Eindruck machte erst einmal Thomas Müller im blauen Sakko mit buntem Einstecktuch. Er wurde wie die 2014er Weltmeisterkollegen Manuel Neuer und Toni Kroos sowie İlkay Gündoğan, der EM-Kapitän des Sommers, mit einigem Pomp verabschiedet (wobei Kroos sich wegen einer Verpflichtung in Madrid entschuldigt hatte). Und kaum dass der Ball nach einem Abschiedsapplaus für die verstorbenen ehemaligen Nationalspieler Johan Neeskens und Dieter Burdenski rollte, lag er schon im niederländischen Netz.

Le débutant Leweling avait marqué après moins de deux minutes, mais comme l’assistant vidéo avait eu une objection apparemment formaliste – le contremaître Gnabry était passé délicatement du hors-jeu passif au hors-jeu actif – le but n’a pas été reconnu après un long examen. Le résultat a été des sifflets stridents et un entraîneur national très en colère.

Nagelsmann avait choisi une voie explicitement tournée vers l’avenir : Aleksandar Pavlovic, 20 ans, et Angelo Stiller, 23 ans, tous deux nés et formés à Munich, ont débuté comme annoncé au milieu de terrain. Pour Pascal Groß et Robert Andrich, 33 et 30 ans, cela signifiait que cette fois ils pouvaient s’installer confortablement sur le banc.

La première d’Oliver Baumann dans les buts, à 34 ans, a également été annoncée. Cependant, celui de Leweling, qui a ensuite été nominé pour Musiala, a été une surprise ; Il a profité du fait que des problèmes musculaires ont ralenti Deniz Undav, qui a réussi deux fois lors de la victoire 3-1 en Bosnie-Herzégovine.

Les Allemands ne se sont pas laissés ralentir par le sifflet de hors-jeu ennuyeux. Malgré les nombreux changements, ce fut encore une fois une performance harmonieuse et à la fois amusante et puissante. Kleindienst et Mittelstädt ont rapidement pris des positions prometteuses, après 25 minutes, Wirtz a provoqué le premier moment ooh-aah au centre, et après près d’une demi-heure, Gnabry et Leweling se sont rendu compte qu’ils s’entendaient si bien auparavant.

Le Munichois retrouva le joueur de Stuttgart, mais cette fois le ballon ne parvint pas au but car de Vrij se jeta dans le tir. Mais les impressions positives étaient largement répandues : Leweling était un revigorant, Gnabry au moins autant, Pavlovic et Stiller apportaient la stabilité, le premier apportait également l’autorité.

Défensivement, les Allemands n’ont pratiquement pas été défiés par l’équipe néerlandaise imparfaite – ou pour le dire autrement : parce que l’équipe de Nagelsmann a fait monter la pression de l’avant et a forcé l’adversaire à commettre des erreurs, la défense était largement calme. Cela s’appliquait également à Schlotterbeck, qui devait principalement s’occuper de Brobbey, qui avait tourmenté Tah au match aller.

Le public était de bonne humeur, la vague s’est déferlée dans l’arène de Munich, il ne manquait plus qu’un but (valable). Gnabry a failli marquer avec une touche pressante, puis Kleindienst a raté de peu un centre de Gnabry, et du point de vue allemand, le score est allé à la pause à 0-0, clairement sous-évalué.

Après cela, Wirtz n’est pas revenu, apparemment légèrement blessé, Andrich a été remplacé, Pavlovic a avancé à la dixième position. Les Allemands ont désormais pris les choses un peu plus facilement et n’ont plus insisté aussi fort. Le jeu, bien que parfois délicat, a perdu de son élan. Mais Leweling a de nouveau provoqué une accélération soudaine et violente.

À la suite d’un corner, il a envoyé le ballon sous la barre transversale à environ onze mètres. Les choses devenaient dangereuses à deux reprises par la suite, lorsqu’un tir de Xavi Simons touchait la barre transversale et que Baumann parait avec force une tentative de Malen. Mais les voisins ne parvenaient plus à perturber durablement le petit anniversaire allemand.