2024-05-17 21:29:26
AGI – La foi catholique, l’attrait évident pour la vie monastique et pour les besoins des êtres humains les plus nécessiteux, l’intérêt pour les signaux qui peuvent venir de l’au-delà. Tels sont les principaux éléments qui ressortent des premiers travaux de Maria Pia Parents, présenté ces derniers jours, dans une librairie bondée de Rome. Le livre s’intitule « Je laisse mes chaussures dehors… et autres petites histoires » (éditeur Officine Culturali Romane). Parenti choisit la technique narrative des nouvelles pour aller au cœur de sa Weltanschauung : “Dans la vie, nous avons besoin de miracles et ce n’est pas une hallucination : les miracles existent !”. Pour aborder les miracles, la maxime « amor vincit omnia » s’applique toujours.
“De tout ce qui peut nous arriver dans la vie, longue ou courte, pour le meilleur ou pour le pire, dans les succès et les échecs, dans les hauts et les bas, dans les renaissances et les naufrages, dans la rédemption et dans la perdition, il y a quelque chose qui dure pour toujours. Cela s’appelle l’amour.” Dans le livre émerge le fil conducteur de la nécessité de faire le bien, même envers des personnes initialement inconnues. Remarquable la très courte nouvelle « Minutes comptées »: la seule écriture du livre, qui privilégie une fin surprise. Après tout, c’est la seule histoire qui se termine mal. Un choc électrique sans fin heureuse. Parenti, né en 1963, a également publié ses récits dans l’anthologie « Scrittomisto ». Il collabore avec le magazine ‘Spleen, nostalgie des histoires inconnues’.
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