En 5 ans, Avicii évolue d’un jeune de 18 ans joyeux qui apprécie ses DJ sets et le contact avec son public à un jeune d’une vingtaine d’années très émacié et fatigué de voyager à travers le monde. Un gros contraste avec le garçon jovial qui se tient devant la caméra au début du documentaire. Toutes les obligations liées au métier d’artiste le rendent malheureux.
« Je fais tout en pilote automatique et je me sens vide et malheureux », admet-il. La déclaration selon laquelle il était beaucoup plus heureux avant de devenir célèbre est la plus déchirante du documentaire.
Avicii change de cap et part aux États-Unis pour écrire des chansons avec des artistes tels que Nile Rodgers de Chic. « Tim est l’un des meilleurs auteurs-compositeurs au monde. Faire des mélodies lui est venu naturellement. Je ne savais pas ce que j’avais vu”, se souvient Rodgers.
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