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Joe Biden Critiques Donald Trump at State of the Union Address: Freedom and Democracy Attacked – High Employment Rates and Optimistic Future Ahead

Joe Biden Critiques Donald Trump at State of the Union Address: Freedom and Democracy Attacked – High Employment Rates and Optimistic Future Ahead

Joe Biden a commencé son grand discours sur l’état de l’Union jeudi soir en attaquant son rival Donald Trump dès les premières minutes, l’accusant de se soumettre à Vladimir Poutine et soulignant que la liberté et la démocratie étaient menacées en Amérique.

Dans l’impressionnant hémicycle du Congrès, avec les acclamations de son camp debout et l’opposition républicaine restée assise, le démocrate de 81 ans, candidat à sa réélection, a affirmé qu’il ne plierait jamais devant le président russe.

«Mon prédécesseur, un ancien président républicain, a déclaré à Poutine: “faites ce que vous voulez”. C’est une citation, un ancien président a vraiment dit ça, se soumettant à un dirigeant russe. Je trouve cela scandaleux. C’est dangereux, et c’est inacceptable!», a-t-il déclaré, sans mentionner le nom de Donald Trump.

«Depuis le président Lincoln et la Guerre de Sécession, notre liberté et notre démocratie n’avaient jamais été autant attaquées dans notre pays», a-t-il ajouté.

Le président a souhaité construire «un avenir basé sur les valeurs fondamentales qui définissent l’Amérique: l’honnêteté, la force morale, la dignité, l’égalité».

«Et voilà quelqu’un de mon âge raconte une autre histoire, celle d’une Amérique marquée par la rancœur, la vengeance et la revanche», a-t-il ajouté en faisant clairement allusion à son rival de 77 ans.

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Donald Trump a promis de se «venger» de sa défaite de 2020, qu’il n’a jamais reconnue, et des poursuites judiciaires contre lui.

L’ancien président a prévu de «rectifier» publiquement les propos de son adversaire. Jeudi, il a accusé le démocrate d’avoir transformé les États-Unis en un «film d’horreur» et réclame un débat avec lui.

Face à la rhétorique du «déclin» martelée par Donald Trump, Joe Biden a assuré que l’Amérique sous sa présidence connaissait «le plus grand rebond» de son histoire, après la pandémie de Covid-19 qui avait mis à mal la première économie mondiale.

«J’ai hérité d’une économie au bord de l’effondrement. Aujourd’hui, notre économie est enviée dans le monde entier. 15 millions d’emplois ont été créés en trois ans, un record. Et le taux de chômage est le plus bas depuis 50 ans», a-t-il affirmé.

Cela dessine «un avenir prometteur», selon Joe Biden, qui veut miser sur l’optimisme face à son adversaire.

Souhaitant clairement marquer la différence avec ce dernier, il a également assuré qu’il ne «diaboliserait pas» les migrants.

Le président a également critiqué l’annulation de la garantie fédérale pour l’avortement, l’un des grands thèmes de la campagne, promettant de «rétablir» cette protection si les Américains élisent un Congrès favorable au «droit de choisir».

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«Il est évident que ceux qui se félicitent d’avoir aboli la protection fédérale du droit à l’avortement par la Cour suprême n’ont aucune idée de la puissance des femmes en Amérique», a-t-il déclaré.

«Mais ils ont compris lorsque le droit de disposer de son corps était en jeu dans les urnes et l’ont emporté en 2022 et 2023, et ils vont comprendre à nouveau en 2024», a ajouté ce catholique défenseur du droit à l’IVG.

Sur la forme, Joe Biden s’est montré combatif, alors que les inquiétudes et critiques sur son âge continuent de croître.

Dans la réponse traditionnelle de l’opposition au discours présidentiel, la sénatrice républicaine Katie Britt devrait, selon des extraits, attaquer Joe Biden sur ses capacités. «Notre commandant en chef n’est pas aux commandes. Le monde libre mérite mieux qu’un dirigeant hésitant et diminué», devrait-elle insister.

Joe Biden a également annoncé devant le Congrès qu’il avait ordonné à l’armée américaine d’établir un port artificiel à Gaza pour acheminer davantage d’aide humanitaire dans le territoire palestinien assiégé, et a exprimé son souhait d’un «cessez-le-feu immédiat» de six semaines.

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Une heure à peine avant le discours du président, la guerre à Gaza s’est invitée à Washington: des manifestants munis de drapeaux palestiniens se sont rassemblés près de la Maison-Blanche, tandis que d’autres ont bloqué une avenue menant au Capitole.

Le convoi de Joe Biden a pris un itinéraire évitant les groupes de protestataires.

Joe Biden a débuté son grand discours sur l’état de l’Union jeudi soir en ciblant son rival Donald Trump dès les premières minutes, l’accusant de se soumettre à Vladimir Poutine et soulignant que la liberté et la démocratie étaient «attaquées» en Amérique.

Dans l’impressionnant hémicycle du Congrès, avec les acclamations de son camp debout et l’opposition républicaine restée assise, le démocrate de 81 ans, candidat à sa réélection, a affirmé qu’il ne plierait jamais devant le président russe, qui a entamé en 2022 une invasion de l’Ukraine.

«Mon prédécesseur, un ancien président républicain, a déclaré à Poutine: “faites ce que vous voulez”. C’est une citation, un ancien président a vraiment dit ça, se soumettant à un dirigeant russe. Je trouve cela scandaleux. C’est dangereux, et c’est inacceptable!», a-t-il déclaré, sans mentionner le nom de Donald Trump.

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