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Juve, avec l’Allegri bis, une époque est révolue : c’est ainsi qu’est née la refondation de la Juventus d’Elkann

by Nouvelles
Juve, avec l’Allegri bis, une époque est révolue : c’est ainsi qu’est née la refondation de la Juventus d’Elkann

2024-05-19 09:04:00

Juventus, Allegri et les deux époques en noir et blanc : Max et les appels d’Andrea Agnelli

L’ère de Massimiliano Allegri est terminée pour la deuxième fois. Max était l’homme sur lequel Andrea Agnelli avait bâti tant de ses triomphes à la Juventus. (“Merci Max, merci à toi qui représente la Juventus avec chacune de tes cellules”, lui a-t-il écrit dans un tweet ces dernières heures). Arrivé à la Juventus à l’été 2014 subitement, à la mi-juillet, appelé à la hâte après les adieux sensationnels d’Antonio Conte : cinq ans et cinq championnats (mais aussi deux finales de Ligue des champions), puis un premier au revoir. Le retour en 2021 évoqué par une grande partie des fans masculins de Providence, pour ramener la Juve à dominer en Italie après les problèmes de la période de deux ans sans lui sur le banc (en tout cas un scudetto avec Sarri, Super Coupe d’Italie et Coupe d’Italie avec Pirlo) avec un contrat de quatre ans d’une valeur d’environ 7 à 7,5 millions nets par saison.

Juventus-Allegri, Max à l’ère Elkann

Puis, avec les adieux d’Andrea Agnelli et le nouveau cours de John Elkann (avec le président Gianluca Ferrero et le PDG Maurizio Scanavino), Massimiliano Allegri est resté solidement sur le banc la saison dernière. Et ainsi en fin de saison. Surprendre? Aucun. Impossible ou presque de divorcer avec un contrat existant de deux ans. D’un point de vue économique, cela aurait représenté un lourd sacrifice de 25 à 30 millions d’euros que le club ne pouvait pas se permettre. De plus, Max a été le protagoniste d’un excellent travail sur le terrain l’année dernière : dans les mois de pénalités et essais sportifs il a réussi à maintenir la concentration de l’équipe à un niveau élevé les menant à la qualification pour la Ligue des Champions (sur le terrain).

Et cette année, au moins jusqu’à la mi-saison, il s’était montré encore plus inattaquable, la Juventus étant pendant longtemps le seul adversaire du cuirassé Inter dans la course au Scudetto. Puis un deuxième tour en déclin et le verre peut être vu à moitié plein ou à moitié vide selon votre point de vue : seulement 21 points en 17 matchs et beaucoup de souffrance, mais qualification pour la Ligue des Champions et victoire de la Coupe d’Italie en finale contre l’Atalanta de Gasperini (double mission accomplie).

La Juve, avec les Allegri bis, une époque est révolue : c’est ainsi qu’est née la refondation de la Juventus par John Elkann avec Cristiano Giuntoli qui planifie l’équipe

À ce moment-là, alors qu’il ne restait qu’un an de contrat, les adieux en fin de saison semblaient encore plus que probables. La nuit tumultueuse à l’Olimpico a avancé de quelques semaines ce que les rumeurs du marché disaient depuis des mois : Cristiano Giuntoli, l’homme choisi par Elkann pour la renaissance de la Juventus (“Il contribuera à façonner l’avenir de la Juventus”, écrivait-il dans la lettre aux actionnaires d’Exor il y a un peu plus d’un mois), travaillait à construire un nouveau cycle à partir d’un autre entraîneur. D’où les rumeurs insistantes sur Thiago Motta de Bologne (même si ces dernières heures, en Espagne, quelqu’un craint un danger pour Barcelone après les adieux de Xavi et en Angleterre, il y a ceux qui colorent Roberto De Zerbi – fraîchement séparé de Brighton – dans une surprise en noir et blanc).

La nouvelle Juventus de Cristiano Giuntoli ? Comme l’a rapporté Affartitaliani.it ces dernières heures. il repart avec un trésor d’environ 80 à 100 millions (dont la moitié sera mise sur le marché, plus l’argent provenant d’éventuelles ventes) et beaucoup d’idées. L’ancien directeur sportif était arrivé de Naples (où il avait été un protagoniste dans la construction de l’équipe championne) l’été dernier, mais n’avait pratiquement pas pu mettre la main sur l’équipe. Il s’agit de la première véritable campagne de signatures prévue par lui (hormis l’arrivée du défenseur portugais Thiago Djalo en janvier, en complément du prêt avec faculté de remboursement de Carlos Alcaraz). Le premier grand rêve s’appelle Teun Koopmeiners, véritable moteur du milieu de terrain de l’Atalanta de Gasperini (le Néerlandais vaut pourtant environ cinquante millions et les yeux de la Premier League sont rivés sur lui). Le joueur de 23 ans est également surveillé dans son rôle Khéphren Thuram à peine un an avant l’expiration du contrat (le frère de Marcus ne semble pas disposé à prolonger à Nice). En défense, le talent de 22 ans du Bologne de Thiago Motta, Riccardo Calafiori, est à proximité. (Le départ ou non de Bremer reste à comprendre : seulement si une offre importante arrive de la Prietier League). Regard noir et blanc également tourné vers le défenseur central (niçois, comme Thuram), Jean-Clair Todibo (promotion 99). Dans les buts, Di Gregorio de Monza devrait remplacer Perin et dans l’espoir Szczesny.

Dusan Vlahovic? Il bomber serbo, reduce da un campionato giocato a suon di gol, rimane a meno di proposte da 80 milioni (anche se non va sottovalutato che nel prossimo biennio il suo contratto salirà a 12 mln netti a stagione), mentre in attacco sembrano destinati a partir Moïse Kean et Forse Milik. La position de Federico Chiesa (un an après l’expiration du contrat…).



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