La barbe est de retour

Es scheint lange her, dass ein Bart ein echter Karrierekiller war. ­Richard Nixon soll sogar nur der Schatten eines Bartes die amerikanische Präsidentschaft gekostet haben. Der damalige Vizepräsident Nixon trat 1960 bei der ersten Fernsehdebatte überhaupt gegen einen frisch rasierten und gut gebräunten John F. Kennedy an. Der Republikaner Nixon hingegen wirkte – blass und unrasiert – auf seine Zuschauer wie ein Panzerknacker. Der „five o’clock shadow“, der sich nachmittags nach fünf Uhr zeigt, wenn man sich seit dem Morgen nicht mehr rasiert hat, soll Nixons Chancen aufs Präsidentenamt zunichtegemacht haben – wenn auch nur haarscharf. Und auch nur vorläufig: Acht Jahre später schaffte er es doch noch ins Weiße Haus.

Noch länger her ist die Zeit, als die Geschicke der Welt von gleich drei bärtigen Männern maßgeblich bestimmt wurden, die in jungen Jahren auf manchen Fotos fast wie eineiige Drillinge wirkten. Das lag nicht zuletzt daran, dass Georg, ­Nikolaus und Wilhelm Cousins waren – was König, Zar und Kaiser später allerdings nicht ­daran hinderte, mit- und auch gegen­einander in den Ersten Weltkrieg zu ziehen. Zu jener Zeit waren Bärte noch Insignien der Macht, sie symbolisierten Stärke und Männlichkeit.

Mais cela a changé. Ceux qui se sont tenus se sont rasés. Ce qui était de plus en plus facile avec l’invention du plan de rasoir. Long Hairy on the Face n’est des étrangers que depuis les années 1960. Les soixante-huit codeurs et hippies étaient déjà écrits sur la face de ce qu’ils pensaient de la société. La mauvaise image de la barbe a duré presque dans le nouveau millénaire. Aujourd’hui, en revanche, il y a presque autant de salons de coiffure que les studios Nail. Bart est fièrement porté, et encore à nouveau dans les centres de puissance du monde.

Meilleur exemple: le nouveau vice-président américain JD Vance, le premier deuxième homme de l’État avec une barbe pendant près de 100 ans. Le dernier était Charles Curtis (1929 à 1933), et il n’avait qu’une moustache. Les États-Unis n’ont plus de président entièrement barbu depuis Benjamin Harrison (1889 à 1893). En fait, la barbe de JD Vance était également un problème politique. Parce que Donald Trump n’aime pas une barbe. Quand son fils Donald Jr. 2018 est revenu de vacances de chasse aux poils du visage, le père lui a immédiatement conseillé de se raser. Dans des cas exceptionnels, le junior n’a pas été écrasé et a maintenu son excroissance.

Les poils du visage, vous pourriez penser, n’étaient que pour les perdants pendant longtemps. Surtout en ce qui concerne le plus haut poste de l’État d’Amérique. Il est frappant que les candidats à la présidentielle échouent aiment quitter une barbe peu de temps après leur défaite ou le retrait anticipé. Le démocrate Al Gore, par exemple, lorsqu’il a été vaincu par George W. Bush en 2001. Ted Cruz n’est également devenu un Zausel qu’après avoir dû abandonner le dernier président Donald Trump lors de la campagne d’avant les élections. Les hommes à barbe ne semblaient tout simplement pas clairs, du moins dans les positions supérieures.

Jusqu’à présent, cela a également été vrai pour la chancellerie allemande, où un certain Martin Schulz, qui appartient à un parti qui est assez enclin au Barte, a peut-être également échoué en raison de sa fourrure faciale souvent négligée. Comme son précédent Rudolf Scharping (également du SPD). Quiconque a monté tout le long du chemin était généralement antidémocratiquement en fonction, pensez à Walter Ulbricht.

Les esprits diffèrent sur la barbe. Pour certains, ils sont quelque chose pour les vrais hommes (voir Hunting Vacation et Don Jr.), exactement le contraire pour d’autres. Dans le deuxième cas, une barbe est censée couvrir certaines lacunes, un menton non particulièrement prononcé, par exemple ou (voir le joueur JD Vance) Baby Bacon sur les joues. Die-Dhard Beard porteurs de format ne sont généralement pas utilisés pour l’extérieur ou ce que le reste du monde en pense: ils restent poivrants et évitent apparemment leur réflexion (voir Anton Hofreiter).

Soudain, le démarrage de la croissance de la barbe en forme autrement lisse a également des raisons plus profondes. La plupart du temps, quelque chose se casse en ce qu’elle ne quitte pas à naître. Le passé Annus Herribilis de la famille royale britannique, par exemple, n’a pas transmis l’héritier au trône sans trace. On peut également exprimer qu’il devrait également exprimer qu’il a des choses plus importantes que de prendre soin de lui – à savoir prendre soin de sa femme et de ses enfants malades. Travis Kelce était similaire. Taylor Swift lui est arrivé, qui a immédiatement émergé sur le visage du porteur de roulement répété. Bien -aglomed est différent.

Pas étonnant qu’en tant que Swift supérieur, il n’ait même pas atteint la liste des “20 célébrités barbues les plus chaudes” de la chaîne de coiffure britannique de Ruffian. Cela mène, comment devrait-il être autrement, le prince William. Ce que son frère, l’ancien réserviste de la Couronne britannique, devrait également ennuyer. Le prince Harry n’a pas été du tout pris en compte, même s’il était déjà au service de Sa Majesté avec Red Fluff sur son visage.

Une barbe de célébrité envoie naturellement des signaux qui peuvent être utilisés pour spéculer. Markus Söder, par exemple, est revenu bien avec les cheveux des vacances d’été. Il a également quitté les stores récréatifs parce que son peuple électoral les a trouvés la majorité d’Instagram. En y regardant de plus en plus, c’est juste une barbe de toute façon, une sorte d’Henriquatre taillé. Il n’a pas l’air de royaume de conte de fées, plutôt un peu provincial. C’est exactement là que les augurements sont principalement principalement barbus en jeu: qui comprenait le Söder-Bart comme un signal à Friedrich Merz qu’il pourrait se déplacer dans la chancellerie. Bien sûr en douceur!