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La C.-B. annonce des mesures pour licencier plus de médecins formés à l’étranger | NanaimoActualitésMAINTENANT

La C.-B. annonce des mesures pour licencier plus de médecins formés à l’étranger |  NanaimoActualitésMAINTENANT

Eby a annoncé que la province porte à 96 le nombre de places disponibles dans le programme Practice Ready Assessment d’ici mars 2024, triplant ainsi le nombre de médecins de famille formés à l’étranger qui peuvent obtenir un permis en Colombie-Britannique chaque année.

Seize de ces places seront réservées aux médecins affectés aux communautés rurales et éloignées de la province, a noté Dix, tandis que 16 autres pourraient être dirigées vers les zones rurales ou urbaines et suburbaines dans le besoin.

Dans un autre changement, Eby a déclaré que les diplômés internationaux en médecine qui ne sont pas éligibles à une licence complète ou provisoire en Colombie-Britannique peuvent désormais être éligibles à une nouvelle classe d’inscription de «médecin associé» auprès du Collège des médecins et chirurgiens de la Colombie-Britannique.

Cela leur permettrait de soigner des patients sous la supervision d’un médecin traitant dans des établissements de soins aigus administrés par les autorités sanitaires, a-t-il déclaré.

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Eby a déclaré que le collège de réglementation prépare également des modifications aux règlements administratifs pour permettre aux médecins formés aux États-Unis pendant trois ans de pratiquer dans des milieux communautaires en Colombie-Britannique, y compris des centres de soins d’urgence et primaires, des cliniques communautaires et des pratiques familiales.

Les modifications aux règlements devraient être mises en œuvre dans les semaines à venir, dans le but de permettre à ces médecins de pratiquer dans les communautés de la Colombie-Britannique d’ici janvier.

Les tensions que subit le système de santé de la Colombie-Britannique ne sont pas uniques, d’autres provinces connaissant des défis similaires, a noté Eby.

Certains, a-t-il dit, proposent de répondre à ce stress en sapant les principes des soins de santé publics universels et en promouvant une approche qui permettrait aux plus riches d’acheter leur place au premier rang des soins de santé.

“L’achat ne résout pas la ligne, cela change simplement qui reçoit les soins en premier”, a déclaré Eby.

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« Nous ne pouvons pas privatiser notre chemin vers un meilleur système de soins de santé.

Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 27 novembre 2022.

La Presse canadienne

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