La chaleur corporelle comme source d’énergie dans les clubs

Brouillard artificiel, lumières vacillantes, odeur de sueur, corps à moitié nus qui bougent au son de la musique. C’est une soirée typique début 2023 au club berlinois Schwuz. Dehors la nuit est encore froide, à l’intérieur il fait très chaud. Marcel Weber, directeur général du club traditionnel du quartier de Neukölln, a depuis longtemps éteint le chauffage. La chaleur allant jusqu’à 30 degrés est générée par les invités dansants dès qu’elle est pleine. C’est une chaleur qui jusqu’à présent s’échappe complètement lorsque Weber ouvre les portes et les fenêtres après la fermeture du magasin.