BANGKOK – Les gains impressionnants des forces de résistance au Myanmar et les changements de contrôle territorial qui en résultent entre les principaux groupes armés ont incité les pays concernés – notamment la Chine, les États-Unis, la Thaïlande et le Japon – à réévaluer leur position à l’égard du régime militaire.
A l’approche de l’expiration mercredi de la période d’urgence de six mois en Birmanie, la pression s’est intensifiée sur le chef du régime, Min Aung Hlaing, pour un changement de direction et la mise en œuvre d’élections promises depuis longtemps. Les spéculations vont également bon train sur une possible libération d’Aung San Suu Kyi, la conseillère d’Etat dont le gouvernement élu a été renversé le 1er février 2021. Ces rumeurs ont été alimentées par au moins deux visites récentes de hauts responsables du régime à Suu Kyi, qui est détenue dans un lieu tenu secret à Naypyitaw, la capitale.
2024-07-30 10:47:00
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