La Corée du Nord a lancé mercredi une fusée présentée comme un “véhicule de lancement spatial” selon l’armée sud-coréenne. Cela a semé la confusion à Séoul où un ordre d’évacuation a été lancé par erreur et a déclenché une brève alerte au missile au Japon. Le projectile a disparu des radars avant d’atteindre son point de chute attendu et l’armée cherche à savoir s’il a explosé en vol ou s’est écrasé quelque part. Le premier ministre japonais a évoqué un “possible missile balistique”. La Corée du Sud a annulé l’alerte lancée tôt le matin par la ville de Séoul et selon l’état-major sud-coréen cité, le projectile a survolé la mer Jaune sans affecter la zone métropolitaine de Séoul. Le gouvernement japonais a cependant annulé l’alerte 30 minutes plus tard en estimant tout danger écarté. Pyongyang avait annoncé qu’elle allait lancer un satellite-espion afin de “faire face aux actions militaires dangereuses des États-Unis et de leurs vassaux”. Selon des analystes, envoyer un satellite en orbite peut permettre à Pyongyang de procéder à un essai dissimulé de missile balistique intercontinental (ICBM), car les missiles à longue portée et les lanceurs spatiaux reposent sur la même technologie.
Une violation du droit international et de la souveraineté syrienne. Cuba condamne les attaques répétées d’Israël contre Damas.
2024-10-03 11:10:37 Cuba a fermement condamné les attaques répétées d’Israël contre Damas, soulignant qu’elles violaient le droit