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La Cour suprême a interdit le placement de « policiers couchés »

La Cour suprême a interdit le placement de « policiers couchés »

La Cour administrative suprême (SAC) abrogé comme illégaux les textes d’une ordonnance réglementant la construction de bosses sur la chaussée pour limiter la vitesse de circulation, interdisant de fait le placement de “policiers couchés”. Cela ressort clairement de annonce officielle au tribunal.

La Cour suprême annule les textes attaqués car les principes de légalité, d’égalité et d’accessibilité, de publicité et de transparence, de justification, de stabilité, d’ouverture et de cohérence ont été violés par l’organe administratif. Ainsi, les “policiers couchés”, tout autre marquage routier et moyen de réduction de la vitesse ne seront possibles qu’après l’adoption de règles dans un ordre correct et légal.

Avec l’acte normatif en question, déjà en 2012, le ministère de l’Intérieur et le ministère de l’Intérieur ont créé les règles pour la construction ou l’installation de bosses artificielles et d’autres moyens de limitation de la vitesse de circulation sur la chaussée. Cependant, les points principaux sont contestés devant VOUS par un particulier.

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Et voilà que le collège de cinq membres de la Cour suprême d’appel annule les principaux textes du règlement. La raison en est qu’avant la soumission d’un projet d’acte normatif, celui-ci doit être publié sur le site Internet de l’institution concernée avec les motifs, et les parties intéressées doivent disposer d’au moins 14 jours pour formuler des propositions et des avis sur le projet.

Les juges suprêmes reconnaissent que dans ce cas il ne suffit pas que dans une lettre de 2012 le député le ministre du Développement régional et des Travaux publics a informé le ministre des Transports, le directeur exécutif de l’Association nationale des municipalités et des gouverneurs régionaux du pays que le projet de règlement a été publié sur le site Internet du MRRD. Selon les magistrats en chef, cette déclaration ne permet pas de déterminer à quelle date le projet a été publié ni si le rapport et ses motifs ont été effectivement publiés comme l’exige la loi.

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La Cour suprême affirme que les avis du ministère de l’Intérieur et des Communications, selon lesquels, en raison d’une impossibilité technique liée à l’archivage des données des serveurs qui supportaient les sites Web des ministères en 2012, ne sont pas du tout suffisants, ils ne peuvent pas présenter de preuves. pour la publication du projet de règlement sur le site Internet. La durée de conservation des documents reflétant les principales activités des institutions étatiques et municipales est de 20 ans, rappellent les juges. Compte tenu de cette disposition, l’échantillon du site Internet du Ministère de l’Intérieur et des Communications aurait dû faire partie du dossier administratif lors de l’adoption de l’ordonnance, d’autant plus compte tenu du caractère indéterminé de la contestation des statuts. .

VOTRE décision est définitive.

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2024-03-02 01:19:07
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