La Cour suprême refuse d’examiner les arguments de l’ASSOCHAM et de la CII contre la divulgation des détails des obligations électorales

La Cour suprême refuse d’examiner les arguments de l’ASSOCHAM et de la CII contre la divulgation des détails des obligations électorales

2024-03-18 21:28:08

Le banc constitutionnel composé de cinq juges dirigé par le juge en chef de l’Inde (CJI) DY Chandrachud lors d’une audience sur l’affaire des obligations électorales, à New Delhi, le lundi 18 mars 2024. | Crédit photo : PTI

La Cour suprême a refusé d’entendre en urgence lundi une intervention d’associations industrielles contre une ordonnance du 15 mars demandant une explication de la Banque d’État de l’Inde sur la non-divulgation des numéros alphanumériques uniques des obligations électorales à la Commission électorale de l’Inde pour publication.

Un tribunal de cinq juges dirigé par le juge en chef indien DY Chandrachud a demandé à l’avocat principal Mukul Rohatgi, représentant ASSOCHAM, FICCI et CII, pourquoi ils étaient venus maintenant après le prononcé du jugement dans l’affaire des obligations électorales le 15 février.

« Le monde entier savait que nous étions entendus par cette affaire. Vous venez après que le jugement soit rendu. Vous déposez une demande maintenant ? » Le juge en chef Chandrachud a demandé à M. Rohatgi.

Le juge BR Gavai, siégeant sur le banc, a également remis en question le calendrier des clients de M. Rohatgi.

L’avocat principal a précisé que les associations industrielles n’avaient « aucun problème » à révéler les donateurs ou les bénéficiaires du programme d’obligations électorales.

« Mon problème concerne l’ordonnance du 15 mars », a-t-il soutenu.

Le juge en chef a déclaré, lors de l’audience, que la Cour n’avait devant elle aucune requête déposée par les associations industrielles.

M. Rohatgi a insisté sur le fait que la demande avait été déposée dans la matinée.

« Il n’y a aucune application à bord. La demande ne peut être ni numérotée, ni enregistrée… Nous la traiterons en temps utile. Il n’y a pas de mention orale… Vous comparaissez pour de gros clients… Si nous vous permettons de mentionner oralement, quel visage vais-je montrer à un jeune avocat qui veut faire de même… Maintenant, ce qui est de la sauce pour l’oie est de la sauce pour le regard, » Le juge en chef Chandrachud s’est adressé à l’avocat principal.

Dans un communiqué, la FICCI a confirmé avoir déposé, aux côtés de l’ASSOCHAM et de la CII, une demande d’intervention.

La FICCI estime que la facilité de faire des affaires est un élément clé de la compétitivité de l’Inde à l’échelle mondiale. « Les actions rétrospectives conduisent à une réduction de la confiance des investisseurs indiens et mondiaux. C’était la base de notre candidature. La FICCI croit en la promotion d’un environnement propice au développement économique, dans lequel le secteur privé contribuera à la croissance de l’Inde pour en faire la troisième plus grande économie », souligne le communiqué.

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