De retour en Italie, elle a continué à mener une vie normale jusqu’en 2019, lorsque, lors d’un examen pour pouvoir donner son sang, elle a découvert être séropositive pour le virus du sida.
Bataille judiciaire
À ce stade, la manière dont elle a contracté le virus n’a pas été formellement déterminée, bien que des laboratoires italiens aient conclu, sur la base d’un séquençage génétique, que le virus porté par la jeune femme “est identique à ceux qui ont été conçus en laboratoire” à Genève, rapporte le journal.
Appuyée par ces conclusions, elle a engagé une bataille judiciaire qui s’est finalement conclue par un accord à l’amiable et une indemnisation de 145 000 euros. L’accord prévoit l’abandon des poursuites judiciaires, a précisé l’Université de Padoue à l’AFP.
“La transaction en cours de finalisation n’implique pas de reconnaissance de responsabilité ou de prétentions de l’une ou l’autre partie”, a indiqué de son côté l’Université de Genève, contactée par l’AFP.
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2024-02-28 23:04:57