Le football jeune est devenu l’un des principaux sujets de préoccupation de l’ANFP. L’entité présidée par Pablo Milad entend réduire les dépenses consacrées aux tournois de division inférieure. La dépense est considérable. À Quilín, on l’estime à 5 milliards de dollars par an. Le sac à dos devient particulièrement lourd, compte tenu de la situation économique délicate que traverse la société dirigée par le curicano.
Dans ce scénario, l’intention de Peñalolén est d’alléger la charge. L’idée de réduire les catégories a été abandonnée en raison de à la forte opposition que la simple mention provoquait. En fait, des manifestations ont eu lieu dans différentes régions du pays pour rejeter cette possibilité, estimant qu’elle affecterait des centaines d’athlètes et provoquerait le chômage des entraîneurs et des professionnels concernés. Milad a promis de ne pas toucher à cet avion.
Ce mercredi, le Conseil des présidents se réunira pour prendre des décisions sur l’un des flancs que l’entité qui régit le football chilien garde ouvert.
Il y a deux semaines, les présidents des clubs se sont réunis pour évoquer différents sujets. La définition la plus controversée était celle concernant la deuxième division. Finalement, l’assemblée a décrété que le troisième tournoi de la catégorie professionnelle serait disputé par des joueurs de moins de 23 ans, ce qui a creusé un écart avec le Sifup, qui avait prévenu depuis longtemps d’un arrêt au cas où une mesure en ce sens serait adoptée. Cette réticence est liée aux emplois que leurs associés perdront.
L’autre sujet qui a été discuté lors de ces réunions était la planification liée au football des jeunes.. Et là, contrairement à la définition complexe mais concrète adoptée dans le cas précédent, la clarté brille par son absence. La seule certitude relative est l’intention de démarrer les compétitions dans la seconde quinzaine de février.. Le format des tournois est encore en suspens.
Le débat est encore une fois économique. Il y a une situation précise : le coût sera réduit. Mais les décisions les plus importantes restent en suspens. Quatre propositions sont ressorties des réunions. Le conseil d’administration de l’ANFP les a réduits à deux. Ce qui est convaincant : la distance entre le coût de maintenance du système actuel et celui d’opter pour le moins cher est de 300 millions de dollars.
L’histoire continue ci-dessous
En savoir plus sur Le troisième PMLe conseil d’administration de l’ANFP, en Conseil des Présidents (Photo : ANFP Communications)
En supposant que l’ordre actuel, qui coûte 3 488 millions de dollars par an, avec une première division nationale (16 équipes, toutes contre tous) et une première division régionalisée (24 équipes réparties en trois groupes), soit la première de la liste, dans les autres, elle est Déjà les nuances commencent à apparaître. La première option, qui implique un coût de 3,134 millions de dollars, envisage une coupe et une ligue. Le coût serait partagé à parts égales entre l’ANFP et les clubs, même si ce seraient ceux de Première Division qui porteraient le sac à dos le plus lourd : 1 049 millions de dollars, ce qui équivaut à 65 millions de dollars par an par club. Pour B, ils devraient allouer 517 millions de dollars (32 millions de dollars par mois)
L’autre est, sans aucun doute, d’opter pour une régionalisation absolue. Là-bas, la principale appréhension est la différence concurrentielle évidente entre les clubs des extrêmes par rapport à ceux qui opèrent dans la zone centrale du pays, parmi lesquels se trouvent ceux qui réalisent les plus gros investissements. Il y a une considération pratique. La différence concurrentielle est si évidente qu’il y a des clubs qui gagnent généralement chaque match du week-end avec une victoire écrasante, mais lorsqu’ils affrontent les habitants de la capitale, ils remarquent immédiatement que la réalité est diamétralement opposée.. C’est le moins cher : 2 857 millions de dollars. Les coûts seraient répartis dans la même proportion que dans la première formule.
Une considération avancée par ceux qui sont en faveur du maintien de l’ordre actuel, en raison des bénéfices sportifs qu’il apporte, concerne la différence économique minimale entre les propositions. »Ce n’est pas une économie significative. Ou du moins, pas décisif au regard des quantités manipulées dans le football”, explique-t-il à Le sportif un connaisseur du processus.
Pablo Milad, président de l’ANFP. (Photo : Aton Chili)
L’instance suprême du football chilien se réunira à nouveau mercredi 15. Au préalable, une définition avait été adoptée : 2025 sera une année de transition. Autrement dit, quel que soit le type de concurrence mise en œuvre et les décisions adoptées pour la financer, le débat sur les discussions de fond se poursuivra. Dans cette optique, par exemple, il a déjà été convenu qu’une ou plusieurs commissions seraient formées entre un groupe de clubs et d’autres acteurs concernés pour définir un meilleur système. “Pour 2026 et à partir de là, car l’idée est de le pérenniser», explique un participant aux réunions.
Dans cette discussion, il n’y aura aucune question interdite à l’avance. “Il va falloir revoir les catégories, le système de championnat, les âges. Tous. Un rapport doit être rédigé avec des conclusions, avec des faits», ajoute-t-il.
Dans ce scénario, il y a des clubs, comme l’Université catholique, Huachipato, O’Higgins et Iquiquequi ont élevé la voix pour maintenir l’ordre actuel, basé sur la plus grande compétitivité qu’il propose par rapport aux projets alternatifs en cours d’élaboration. Cependant, nombreux sont ceux qui privilégient l’équilibre économique présumé qu’impliquent les puissances régionalisées. Au moins dans un premier temps.
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