. Ce n’est plus qu’une question de jours avant que la Formule 1 reprenne ses droits au Moyen-Orient sur le circuit international de Sakhir.
La 75e saison de F1 de l’Histoire s’apparente à un marathon avec 24 dates sur cinq continents, allant de la Chine – de retour après 4 ans d’absence – aux Etats-Unis en passant par l’Italie. Dévoilé en juillet dernier, le calendrier 2024 comporte une autre particularité inédite : trois de ses Grands Prix se disputeront le samedi, dont les deux premiers de l’année à Bahreïn (2 mars) et à Djeddah (Arabie saoudite, 9 mars).
Trois courses, trois raisons
Nouvelle lubie de Liberty ou changement nécessaire pour gagner en audience ? Ni l’un, ni l’autre. Ce décalage est causé par le Ramadan, qui débute le dimanche 10 mars. Afin de respecter le lancement du mois saint des musulmans, les organisateurs du Grand Prix d’Arabie saoudite ont demandé à déplacer leur épreuve d’un jour.
Les premiers essais libres se dérouleront donc le jeudi, la séance de qualification suivra le vendredi et la deuxième course de l’année démarrera à 16 h (heure française) le samedi. Le programme sera similaire pour le Grand Prix de Bahreïn qui, en conséquence, a aussi été avancé d’une journée. Ceci afin de permettre aux équipes de déplacer le paddock de Sakhir à Djeddah dans un laps de temps décent.
Une autre course est également programmée le samedi mais pour d’autres desseins. Il s’agit du Grand Prix de Las Vegas, dont la tenue le samedi 23 novembre à partir de 22 heures sur le célèbre Strip de la ville du péché ne gênera pas les téléspectateurs européens en raison du décalage horaire (départ le dimanche à 7h, heure française). Pour assister au retour des courses dominicales, il faudra attendre l’épreuve australienne (24 mars, 5h du matin).
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