La Galice maintient son engagement envers la médecine préventive et la lutte contre le cancer du sein. Un engagement qui a été renforcé ce matin avec l’annonce d’un Projet de recherche pionnière Présenté à Santiago par le ministre de la Santé, Antonio Gómez Caamaño, qui a été accompagné du directeur général de la santé publique, Carmen Durán.
Lainiciativa, Denominada Mamicse concentre sur l’évolution du modèle actuel de dépistage du cancer du sein, l’introduction de la personnalisation des risques comme élément clé de la détection précoce.
Pour ce faire, le projet, qui aura un Durée de deux ans et un financement de 1,2 million Des Euros de l’Institut de santé Carlos III, il fera une autre étape dans l’étude traditionnelle de ce type de cancers. Ainsi, il soulève un modèle innovant qui combine l’intégration des facteurs génétiques, des modes de vie et des caractéristiques mammographiques dans la recherche du calcul d’un risque personnalisé pour chaque femme.
Dans ce contexte, en février, mille Galiciens qui ont déjà participé à des programmes de dépistage du cancer du sein recevront un SMS les invitant à participer un mamorical.
Le nouveau modèle de dépistage que l’équipe de recherche appliquera est similaire Une calculatrice où, pour chaque femme, tous les facteurs de risque ou le cancer du sein sont introduits Connu du présent: facteurs non génétiques (poids, hauteur, modes de vie), facteurs génétiques et facteurs mamographiques.
De cette façon, le modèle affectera un nombre de risques personnalisé chaque femme (par exemple, à 5% du cancer du sein et à 90%), en les classant à différents niveaux de risque: élevé, intermédiaire et faible.
La recherche doit avoir 4 000 cas positifs et 6 000 cas négatifs. À cette fin, les femmes qui avaient participé au dépistage du cancer du sein des 14 communautés et qui, en 2018, avaient été négatives, analysant leur histoire jusqu’en 2024, pour déterminer lesquelles qu’elles ont testées positives à cette époque étaient invitées à faire partie du projet. Et combien sont encore négatifs.
Les femmes qui participent au projet seront faites un échantillon génétique avec lequel identifier plus de 300 gènes liés au cancer, en plus d’une étude sociodémographique et des habitudes de vie.
À 10 000 participants seront appliqués au nouveau modèlecomparer la valeur des risques entre les patients atteints de cancer et les femmes en bonne santé.
Les résultats aideront à identifier les femmes présentant un risque élevé de cancer du sein qui peut bénéficier d’un suivi plus intensif et minutieux et des traitements chimiopréventifs ou des stratégies de réduction des risques.
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