La joueuse de beach-volley Laura Ludwig met fin à sa carrière internationale

Der kleine Elvis war viel zu sehr mit seinem Mini-Beachvolleyball beschäftigt, als dass er Mamas Wunsch hätte nachkommen können. Also kein Küsschen für Laura Ludwig. Stattdessen Autogramme und Selfies – wie jeden Tag am Rothenbaum. Nur war diesmal die Schlange der Fans etwas länger: Am Samstagabend endete ihre große Karriere mit der Niederlage an der Seite Louisa Lippmanns gegen das beste deutsche Duo, Cinja Tillmann und Svenja Müller.

Um 17.38 Uhr fiel der Vorhang unter tosendem Applaus, zumindest der internationale, denn an den deutschen Meisterschaften in Timmendorf werden die beiden noch teilnehmen. Dann ist endgültig Schluss für die 38-Jährige, die in Hamburg wahlweise als „Legende“ begrüßt wurde und bei ihrer Abschiedsrunde zu den Klängen von Robbie Williams „Angel“ mehr als eine Träne vergoss – später aber gefasst und glücklich wirkte: „Ich bin dankbar für die vergangenen 20 Jahre aber im Moment auch traurig, raus zu sein. Ich denke, wir haben hier eine gute Show abgeliefert. Der Rothenbaum stand immer nur für Tennis. Aber wir haben den Laden hier mit Beachvolleyball gerockt. Das macht mich stolz. Beach soll auch ohne mich in aller Munde bleiben.“

Das allerdings könnte ein frommer Wunsch sein, denn eine so kraftvolle und gleichermaßen leichtgängige Anchor-Woman kann man sich nicht eben mal so backen: Es waren ja nicht nur die Erfolge ihrer 2004 mit Sara Goller startenden Laufbahn, die die oft schnoddrige Berlinerin in den Mittelpunkt des Interesses schoben. Wobei der Olympiasieg 2016 in Rio mit der kongenialen Partnerin Kira Walkenhorst alles in den Schatten stellte und ihr eine neue Stufe der Popularität einbrachte – was auch an den fast ehrfurchtsvollen Verabschiedungen der namhaften Gegnerinnen im Hamburger Sand deutlich wurde: Hier ist wirklich eine ganz Große gegangen.

Elle a également apporté sa contribution à la compatibilité visible entre la famille et le travail, puisqu’elle est mère de deux enfants de six et deux ans. À 15:21, 18:21 contre les champions d’Europe, Ludwig/Lippmann n’avaient pratiquement aucune chance lors des quarts de finale allemands, mais ce fut même un succès d’arriver aussi loin dans le tournoi « Elite 16 » du Beach Pro Tour.

Dans le “deuxième salon” de Ludwig, les deux hommes avaient enthousiasmé le public plus tôt samedi et, après une seule victoire dans les matchs de groupe, ils atteignaient les huitièmes de finale, pour lesquels une victoire 2-1 contre les Américains Scoles/Flint était assez.

Sa compagne Louisa Lippmann, 29 ans, va continuer à creuser le sable sans savoir pour l’instant avec qui. En 2022, elle a participé à l’expérience avec Laura Ludwig en tant que joueuse de haut niveau en salle. Il n’y a pas eu de succès majeurs. Ludwig répond lui-même à la question de savoir ce que c’était pour Lippmann lors de la tournée d’adieu de Ludwig : « Louisa pleure avec moi, elle est aussi une personne émotive. Qu’est-ce qui est prévu jusqu’à Timmendorf ? “Séchez vos larmes, puis faites peut-être un peu de musculation”, répondit Ludwig et ajouta: “Et s’il vous plaît, n’espérez pas trop de choses là-bas – nous sommes tous morts après une longue saison.”

Nils Ehlers aurait aussi pu avoir envie de pleurer jeudi. Lors du premier match de groupe contre le Suisse Métral/Jordanie, Ehlers s’est tordu le pied à l’atterrissage et s’est allongé dans le sable, le visage tordu par la douleur. Après le traitement, il a continué à jouer avec un pied bandé, a remporté le match aux côtés de son partenaire Clemens Wickler et a immédiatement quitté le terrain pour se rendre à l’hôpital. En raison de leur victoire au deuxième tour, les deux hommes ont dû s’absenter à deux reprises avant que la nouvelle de la fin de Hambourg pour les médaillés d’argent de Paris n’arrive samedi matin. Au début, on ne savait pas vraiment si Ehlers/Wickler serait en mesure de rivaliser avec les « Allemands » sur la mer Baltique.

Les journées à Hambourg sont donc devenues un moment de fête pour Cinja Tillmann et Svenja Müller. Les meilleures Allemandes ont été éclipsées par le départ de Laura Ludwig, mais ont impressionné par leur sécurité et leur diversité et ont atteint la finale grâce à une victoire 2-0 contre le duo brésilien Thamela/Victoria. Là, les championnes d’Europe ont perdu dimanche soir face aux Suissesses Tanja Hüberli et Nina Brunner, malgré deux balles de match, 1:2 (18:21, 21:18, 16:18).