Le 6 février, des tremblements de terre ont secoué le nord-ouest de la Syrie et le sud-est de la Turquie, provoquant de graves dégâts et des dizaines de milliers de victimes.
La Lettonie a déjà évalué les possibilités d’assistance à la Turquie, qui a identifié le plus grand nombre de victimes du tremblement de terre.
Selon le ministère letton de la Défense, bien que le nombre officiel de victimes et de décès en Syrie soit relativement inférieur, les besoins d’assistance internationale pour la population syrienne sont nettement plus élevés, car les opérations de sauvetage ont été gravement entravées par la guerre civile en cours depuis 2011. De plus, le nombre de victimes et de sinistrés risque fort de dépasser ce qui a été rendu public en raison de la difficulté d’accès à l’aide.
La Lettonie versera l’aide monétaire sur le compte spécifié par le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). Compte tenu de la présence limitée des organisations internationales en Syrie, l’OCHA est l’un des rares organes de l’ONU qui travaille depuis longtemps dans le pays, non seulement en fournissant une assistance au peuple syrien mais également en assurant la coordination transfrontalière de l’assistance. Les contributions à l’OCHA garantiraient également qu’un soutien essentiel est fourni à la population civile de Syrie, tandis que le financement ne serait pas détenu par le régime d’Assad ou des groupes terroristes.
Une dépense de 70 000 € sera prélevée sur les fonds de prévoyance.
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