“Nous devons reconnaître que la santé mentale est tout aussi importante que la santé physique”, déclare le Dr Yasir, psychiatre qui travaille avec la Kashmir Young Psychiatric Society. “Nous devons créer une culture qui encourage les jeunes à parler ouvertement de leurs sentiments et à demander de l’aide lorsqu’ils en ont besoin.” Alors que la vallée du Cachemire continue de faire face aux complexités de la vie moderne
“Nous devons reconnaître que la santé mentale est tout aussi importante que la santé physique”, déclare le Dr Yasir, psychiatre qui travaille avec la Kashmir Young Psychiatric Society. “Nous devons créer une culture qui encourage les jeunes à parler ouvertement de leurs sentiments et à demander de l’aide lorsqu’ils en ont besoin.” Alors que la vallée du Cachemire continue de faire face aux complexités de la vie moderne, il est clair que la crise à laquelle est confrontée sa jeunesse nécessitera un effort collectif et soutenu pour y remédier. Cependant, avec conscience, compassion et soutien, il est possible de créer un avenir meilleur pour les jeunes du Cachemire.
Statistiques
Au Cachemire, 1,8 million de personnes souffrent d’une forme ou d’une autre de troubles de santé mentale (OMS).
Au Cachemire, 70 000 personnes souffrent d’une forme de dépendance (gouvernement du Jammu-et-Cachemire).
60 % des jeunes cachemiriens utilisent les médias sociaux plus de 4 heures par jour (Kashmir Young Psychiatric Society).
Conclusion
La crise à laquelle est confrontée la jeunesse cachemirienne est un problème complexe et multiforme qui nécessite un effort collectif et soutenu pour être résolu. Cependant, avec conscience, compassion et soutien, il est possible de créer un avenir meilleur pour les jeunes du Cachemire. À mesure que nous avançons, il est essentiel que nous accordions la priorité à la santé mentale et au bien-être de nos jeunes, en leur fournissant les ressources et le soutien dont ils ont besoin pour s’épanouir.
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