la moitié des Espagnols considèrent qu’ils consomment plus de fruits qu’il y a 5 ans

2024-10-08 12:30:04

Ce mardi a été publié le premier baromètre Bollo des fruits naturels sur les habitudes d’achat et de consommation de fruits en Espagne, qui fournit une radiographie détaillée des habitudes d’achat et de consommation de fruits frais dans le pays. Cette étude offre une vision claire de la manière dont les consommateurs adaptent leur comportement d’achat aux nouvelles tendances et circonstances économiques. Malgré la contraction de l’achat et de la consommation de fruits, conditionnée notamment par une forte inflation, le consommateur considère qu’il a un rôle de plus en plus important dans la alimentation des Espagnols.

En fait, le baromètre montre que la moitié des Espagnols considèrent qu’ils consomment plus de fruits qu’il y a 5 ans (48%), tandis qu’à l’autre extrême, 22% de la population estime manger beaucoup moins de fruits désormais.

Concernant la fréquence de consommation, et en tenant compte des utilisateurs qui achètent habituellement des fruits, 70% des participants déclarent consommer des fruits tous les jours20 % indiquent le faire plus de 3 fois par semaine et 10 % réduisent leur consommation à moins de 3 jours par semaine. Par ailleurs, 40 % de ces consommateurs déclarent que, malgré les promotions ou offres, ils préfèrent continuer à consommer les fruits de marque qu’ils achètent habituellement.

Oranges, bananes, pommes et mandarines, les rois du panier

Les fruits les plus consommés Chez les Espagnols, ce sont aujourd’hui les oranges, les bananes, les pommes et les mandarines, qui représentent plus de 50 % du volume total de fruits frais consommés dans les foyers. En été, le melon et la pastèque prennent de l’importance, avec 20 % du marché pendant les mois d’été.

70%
Des Espagnols consomment des fruits quotidiennement

20% indiquent le faire plus de 3 fois par semaine et 10% réduisent leur consommation à moins de 3 jours par semaine.

En effet, selon les données sur la consommation domestique par type de fruit – Evolution 2023-2024, du ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation, La mandarine est le seul fruit dont la consommation a augmenté. L’orange, le citron, le melon et la pastèque ont une forte saisonnalité, tandis que la banane reste plus stable tout au long de l’année.

Les jeunes préfèrent les fruits coupés et pelés

Concernant le format du fruit, et en tenant compte des participants à l’étude qui achètent habituellement des fruits, la grande majorité (92%) déclare que Ils préfèrent les fruits entiers en vractandis que 6 % choisissent des fruits conditionnés (soit en filets, soit en caisses) et seulement 2 % choisissent des fruits coupés et préparés. Cependant, cela change complètement lorsqu’on parle de la consommation des jeunes : pour eux, les fruits coupés, pelés et emballés sont le moyen idéal de consommer des fruits.

Cela est dû à trois facteurs principaux. D’une part, la commodité, c’est-à-dire que les fruits coupés et conditionnés en portions individuelles offrent une option rapide et accessible aux personnes qui n’ont pas le temps ou l’envie de les éplucher et de les couper, un effort important pour les jeunes, qui n’ont pas le temps. avoir l’habitude. D’un autre côté, ils sont considérés comme des « collations saines », des alternatives idéales aux aliments transformés et sucrés. Enfin, un emballage attrayant des fruits coupés joue un rôle important car il les rend non seulement plus pratiques mais capte également l’attention des consommateurs dans les points de vente.

Pommes, bananes et mandarines : les fruits des enfants

Concernant la consommation chez les mineurs, les fruits les plus populaires Parmi eux se trouvent ceux qui sont directement proportionnels à leur facilité de consommation. Pour cette raison, on retrouve les mandarines sur le podium, suivies par les bananes et les pommes. Cependant, en termes de volume, la consommation de fruits des moins de 18 ans a légèrement diminué ces dernières années et ils consomment moins de fruits que les générations plus âgées.

Par tranche d’âge, l’étude montre que les personnes de 45 ans et plus sont celles qui consomment régulièrement le plus de fruits, tandis que les jeunes de moins de 30 ans ont tendance à consommer moins de fruits que les générations plus âgées.

Les jeunes entre 18 et 35 ans montrent une consommation davantage liée aux fruits discount, et vers les variétés marque blanche. Bien que ce groupe affiche une consommation plus faible, on constate une tendance croissante chez les jeunes à consommer des fruits comme collation saine, comme nous l’avons mentionné précédemment.

45 ans
C’est l’âge moyen des plus grands consommateurs de fruits

Ils sont motivés par des raisons de santé, mais aussi parce qu’ils ressentent un « plaisir sensoriel » lié à la saveur et à la fraîcheur de ces aliments.

Les adultes entre 45 et 65 ans sont les principaux consommateurs de fruits frais. Ils sont motivés par des raisons de santé, mais aussi parce qu’ils ressentent un « plaisir sensoriel » lié à la saveur et à la fraîcheur de ces aliments. De plus, ils manifestent un plus grand intérêt pour les fruits de marque que les jeunes générations.

De leur côté, les oranges sont le fruit préféré des plus de 65 ans en raison de leurs bienfaits pour la santé. Les agrumes dominent la tranche d’âge entre 45 et 65 ans, où leur fraîcheur et leur qualité sont valorisées. Les citrons sont les protagonistes du groupe des jeunes entre 18 et 35 ans, motivés par la consommation de boissons et de recettes saines.

Bons et mauvais fruits

De manière générale, interrogés sur les caractéristiques qui définissent ce qui est considéré comme un bon fruit, 45% des participants soulignent la saveur comme indicateur principal, suivi de la fraîcheur (18%), du point de maturité (14%), de la bonne la couleur (13%), l’apparence (12%) et si elle est saisonnière (11%).

Étant donné que les consommateurs ne peuvent pas goûter le fruit sur le point de vente, la perception visuelle joue un rôle clé lors de l’achat. Le consommateur associe la saveur aux aspects visuels lors de l’achat. Il est donc essentiel de veiller à ce que les fruits dans les points de vente soient présentés de manière attrayante et appétissante, afin d’influencer positivement la décision d’achat.

À l’autre extrême, les Espagnols considèrent qu’un mauvais fruit est avant tout un fruit trop mûr ou périmé (pour 33% des personnes interrogées), un fruit insipide (33%), un mauvais aspect ou une mauvaise apparence (18 %) et celui qui est dur ou vert (12 %).



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