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la (nouvelle) circulaire du Ministère

la (nouvelle) circulaire du Ministère

1970-01-01 03:00:00

Une amende de 20 mille euros et une suspension de la profession pendant trois mois en cas d’implantation d’implants mammaires uniquement à des fins esthétiques sur les mineures, comme le prévoit déjà la loi 86 de 2012. En outre, les chirurgiens sont tenus d’inscrire toutes les données cliniques et personnelles dans les registres régionaux des prothèses mammaires dont les données alimentent le registre national, sous peine d’une amende de 500 à 5 mille euros. . Une nouvelle circulaire du ministère de la Santé, publiée suite aux demandes d’informations des professionnels du secteur, réitère les obligations déjà prévues par la loi 86 de 2012 dans le but de fournir des indications et des éclaircissements opérationnels tant sur les modalités d’alimentation des registres que sur les exigences requises pour l’implantation de prothèses mammaires à des fins reconstructives et esthétiques. L’implantation de prothèses mammaires à des fins uniquement esthétiques, rappelle la circulaire, n’est autorisée qu’aux personnes majeures.

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Cette limite ne s’applique pas en cas de malformations congénitales graves certifiées par un médecin affilié au Service National de Santé ou par un établissement public de santé. Le non-respect de la condition d’âge est sanctionné par l’application de la sanction administrative du versement d’une somme égale à 20 000 euros à la charge des personnels soignants. Une suspension de la profession pendant trois mois est également prévue. La circulaire rappelle ensuite que l’opérateur de soins de santé, sur la base de la loi 86, a l’obligation d’insérer dans le registre régional/provincial les données personnelles et cliniques des patientes en cours d’implantation ou d’ablation de prothèse mammaire ainsi que les données relatives aux prothèses mammaires. implanté ou retiré, au plus tard trois jours après la date de l’intervention chirurgicale. Les régions/provinces autonomes contrôlent le respect de cette obligation et, en cas d’omission, les agents de santé sont punis d’une amende allant de 500 à 5 000 euros. Les finalités du registre national du Ministère de la Santé sont le suivi clinique du sujet en cours d’implantation ; la traçabilité en temps utile des patients en cas de nécessité de contrôles périodiques spécifiques ou d’éventuelles explantations et surveillance épidémiologique à des fins d’études et de recherches scientifiques.



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