la peur d’être discriminé à cause de l’infection prévaut toujours – Corriere.it

Parler prolonge la vie, disait une publicité télévisée des années 1990. Aujourd’hui, nécessaire cpoursuite de la communication sur le VIH parce qu’il s’agit d’un problème social et que nous devons diffuser des informations correctes sur la maladie, sur la disponibilité de tests et de médicaments efficaces. Cela représente la première étape pour lutter contre la stigmatisation et les préjugés et aider les gens à vivre mieux et plus paisiblement. Le VIH reste un problème majeur de santé publique à l’échelle mondiale.

Nouveaux diagnostics

En Italie en 2022il y en avait 10,888 nouveaux diagnostics de VIH. De 2012 à 2020, une diminution a été observée des nouveaux diagnostics qui ont vu un légère augmentation au cours des deux dernières années post-pandémie.
L’OMS estime qu’il y aurait environ 39 millions de personnes séropositives dans le monde en 2022, dont les deux tiers dans la Région africaine. Dans les pays à revenus élevésgrâce à un accès accru à la prévention, au diagnostic et aux traitements efficaces, l« Le VIH est devenu une maladie chronique gérable ce qui permet de vivre une vie comparable à celle de la population générale.

Recherche

40 pour cent de personnes vivant avec le VIH prend conscience de l’infection par hasard eh bien, je 2 personnes sur 10 reportent la communicationla principale raison pour laquelle peur du jugement et de la marginalisation. C’est l’une des données issues d’une enquête sur les expériences des personnes vivant avec le VIH et leurs besoins, réalisée par Elma Research auprès de 500 patients.
En particulier, la recherche met en évidence l’impact de l’infection sur impact décisif sur divers aspects de la qualité de vie. En fait, la grande majorité déclare que l’infection peut avoir de fortes répercussions sur le plan psychologiquesurtout en raison de la discrimination et des difficultés à vivre avec l’infection. La santé mentale fait l’objet d’une grande attention et de nombreuses personnes sont séropositives. risque de dépression
. Pesant toujours sur la qualité de vie manque d’observance des thérapies qui touche plus d’un tiers des patients et qui pourrait au contraire contribuer à l’améliorer de manière significative.

Campagne

Et c’est précisément de ces résultats qu’est né VIH. On en parlera ?, la campagne de sensibilisation promue par Gilead Sciences avec le parrainage de 16 associations italiennes de patients, de la Société italienne des maladies infectieuses et tropicales (SIMIT) et de la Conférence italienne sur le SIDA et la recherche antivirale (ICAR). Par la voix des personnes vivant avec le VIH, la campagne attire l’attention sur les aspects de la vie qui peuvent être améliorés, pour en prendre conscience et commencer à les aborder. Des aspects psychologiques aux relations avec les autres, du dialogue avec le médecin au bon usage de la thérapie, le but est d’offrir des éléments de réflexion sur sa condition et des informations utiles pour l’améliorer.

Traitement du VIH

Du moment où vous contractez l’infection jusqu’au moment où elle se manifesteils peuvent passer même dix ans et de manière complètement inconsciente transmettre l’infection – explique Andrea Gori, Département des Maladies Infectieuses, Hôpital « Luigi Sacco », Université de Milan et président d’Anlaids Lombardia – . C’est pourquoi il est important tarif je teste car en connaissant son histoire, il est possible d’interrompre la chaîne de contagiosité.
Selon les dernières données publiées par le CoA, dans près de 60 pour cent des cas,infection il vient découvert à un stade avancé, ce qui peut compromettre l’efficacité des thérapies. La lutte contre le VIH – continue Gori – peut en effet compter sur Stratégies thérapeutiques efficaces, capables d’éliminer la charge virale, surtout si elles sont prises le plus tôt possible. Par ailleurs, lel’observance du traitement est cruciale et permet de réduire considérablement la probabilité d’apparition de mutations du virus pouvant provoquer une “résistance aux médicaments anti-VIH”, c’est-à-dire une capacité réduite ou absente d’efficacité de la thérapie elle-même. Pas seulement. Ccelui qui suit les indications thérapeutiques protège aussi les autres, puisqu’en éliminant la réplication du virus il ne transmet pas l’infection, il n’est plus contagieux. Un concept révolutionnaire et en même temps très simple qui se traduit par U=U (Indétectable꞊Intransmissible) ou « Je suis traité, pas infecté ».
Aujourd’hui, les traitements sont beaucoup plus simples : 95 pour cent des personnes vivant avec le VIH ne prennent qu’un seul comprimé et une administration semestrielle sera bientôt disponible.

Bien-être psychologique

La santé mentale et le bien-être psychologique en général sont des aspects très importants qui ne reçoivent pas toujours l’attention voulue – explique Alessandro Lazzaro, Département de santé publique et des maladies infectieuses, Université Sapienza de Rome -. Je suis de nombreuses personnes séropositives risquent de souffrir de dépression ou qui souffrent de troubles tels que l’insomnie, l’anxiété, la dépression pouvant avoir un impact important sur la qualité de vie. Les causes peuvent être différentes : lo stigmatisation sociale, malheureusement encore fortement présent, un des principaux. Mais derrière certains de ces troubles se cache peut-être un secretcause biologique, liée aux effets du virus ou de la thérapie antirétrovirale elle-même. Et donc le dialogue médecin-patient a un rôle crucial prendre conscience et les aborder, non seulement du point de vue des choix thérapeutiques, mais aussi pour orienter la personne vers un parcours multidisciplinaire intégré, conclut l’infectiologue.

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