La police se retrouve pour le meurtre de constructeurs

Es ist der 9. September 2011, als die Täter in das Haus von Gerhard Klingelhöfer eindringen. Der Achtzigjährige ist an diesem Abend allein zu Hause. Ein weiß verputztes Gebäude mit vielen Fenstern zur Goethestraße hin im Pohlheimer Ortsteil Watzenborn-Steinberg. Doch an diesem Abend blickt offenbar keiner der Nachbarn und auch kein zufälliger Passant durch die Fenster in das Haus. Niemand sieht den früheren Bauunternehmer, wie er im Wohnzimmer von mehreren Männern überwältigt wird. Wie sie ihn nach dem Geld fragen, das er angeblich in seinem Haus, im Keller, in einem Tresor verwahrt.

Sie schleppen ihn hinunter, viele Stufen, und wollen ihn zwingen, den Tresor zu öffnen. Als das nicht gelingt, töten sie ihn. Die Ermittler sprechen später von „massiver Gewalteinwirkung“, die dem Bauunternehmer zugefügt worden sei. Was genau das bedeutet, lassen die Ermittler offen. Es sind Details, die nur sie kennen – und die Täter. Aber bis heute sprechen die zahlreichen Spuren, die damals, als Gerhard Klingelhöfer tot gefunden wurde, für eine äußerst grausame Tat.

Même treize ans plus tard, il n’est pas clair qui a tué l’entrepreneur en bâtiment. Ce qui est certain, c’est que l’affaire n’a pas été oubliée. Le procureur de Gießen a annoncé lundi que les autorités d’enquête avaient tenté une nouvelle tentative de clarifier le crime. Une équipe de policiers a de nouveau traité des crimes au cours des derniers mois. Les fonctionnaires auraient numérisé, aperçu et réévalué des fichiers, comme le dit le procureur en chef de Giessen, Thomas Hauburger. Ils comptent principalement sur un nouveau pouvoir de la technologie criminelle – et des témoins qui pourraient enfin rapporter maintenant.

En particulier, les traces d’ADN sécurisées sur les lieux ont été «examinées selon le dernier état de l’art», comme le poursuite du procureur. Les enquêteurs les ont comparés avec des bases de données internationales. Des témoins étaient à nouveau nouveaux ou entendus. Désormais, les enquêteurs du siège de la police de Middle Hesse se tournent également vers la population. Mercredi, l’affaire sera également diffusée sur l’émission de télévision “Numéro de fichier XY”.

Le meurtre de Gerhard Klingelhöfer est l’un des crimes les plus cruels que la police de Gießen a dû faire face ces dernières années. Selon les résultats actuels, les enquêteurs assument au moins trois auteurs. Cela a abouti à l’image de trace, a déclaré Hauburger, l’avocat.

Bien que la police ait effectué 370 interrogatoires et un examen en ligne d’ADN ainsi qu’une perquisition publique, les auteurs n’ont jamais pu être déterminés. Le procureur et la police de Gießen demandent maintenant qui se souviendra d’avoir donné à quelqu’un des références à la victime ultérieure. Ils soulignent qu’une incitation pour le cambriolage est en cours devenue de statut. Les miteurs possibles n’auraient plus à craindre l’application de la loi. Peut-être que quelqu’un a également mentionné sans une mauvaise intention que l’entrepreneur en bâtiment soit riche et avait un coffre-fort au sous-sol?

Les enquêteurs accordent une attention particulière aux chaussures que les auteurs ont transportées en fonction des traces. Ce sont des baskets de la marque “Nike Shox Conundrum” et du fabricant “Adidas Snova Glide”.

Deux des auteurs avaient porté la marque Adidas. Sur les lieux du crime, les imprimés en deux tailles de chaussures différentes se sont révélés correspondre à la chaussure.

Une récompense de 8 000 euros a été suspendue pour des informations qui conduisent à l’arrestation des auteurs. La police accepte les informations au 0641 / 7006-4444 ou par e-mail à “[email protected]”.