Le comité exécutif du Federal Education Council a rencontré les syndicats pour tenter de débloquer le conflit salarial.
Les syndicats d’enseignement du CGT ont rejeté l’offre de salaire du gouvernement lundi et ratifié le chômage du 5 marsdes sources officielles ont rapporté aujourd’hui.
Le ministère du capital humain a indiqué qu’à la réunion conjointe, les syndicalistes ont rejeté la proposition de “les provinces, par le biais de l’organisme de représentation qui est le Conseil fédéral de l’éducation (CFE) de 500 000 pesos depuis février pour un enseignant à temps partiel”. “Ils ont maintenu une grève clairement politique, car les pairs sont provinciaux, tout en blessant des millions d’enfants et leurs familles”, a terminé une déclaration officielle.
Lors de la réunion de salaire minimum de la réunion de salaire garantie (SMDG), les secrétaires de l’éducation et du travail étaient présents, Carlos Torrendell et Julio Corderorespectivement, ainsi que des représentants des syndicats de l’enseignement nationaux et du comité exécutif du CFE, qui est composé de ministres de l’éducation des différentes régions du pays.
De cette façon, les guildes de la Confédération des éducateurs d’Argentine (CEA), de la Confédération des travailleurs de l’éducation (CTERA), de l’Union des enseignants argentins (UDA) et de l’Association of the Magisterium of Technical Education (AMET) Ils ont ratifié le chômage du 5 mars, qui sera ajouté à celui qu’ils ont fait aujourd’hui.
Les conversations de parité ont eu lieu au siège du ministère du Travail, bien que les détenteurs de l’éducation provinciale se soient connectés à distance. Les secrétaires du gouvernement ont partagé un rapport sur les réalités salariales dans chaque province et ont approché un programme qui cherchait à unifier à un plancher ordinaire de 500 000 pesos depuis février la proposition de salaire pour les enseignants de temps, soit 4 heures, de telle manière de manière à Une telle fin de la «dispersion des salaires qui existe parmi les enseignants des 24 juridictions du pays».
Le ministère du capital humain a regretté qu’un accord n’ait pas été conclu et a dénoncé une “utilisation politique des mesures de force” enseignants “dans un contexte dans lequel les pairs provinciaux sont toujours en pleine négociation dans plusieurs juridictions”.
Quoi qu’il en soit, Torrendell et Cordero ont précisé qu’ils étaient prêts à continuer de négocier dans un “dialogue tripartite afin d’éviter la perte de classe de millions d’enfants, ce qui est le bien supérieur à prendre en charge”.
Les raisons de la grève d’enseignement
La grève d’enseignement a été convoquée pour ce lundi 24 février Répond au manque d’appel à la part de l’enseignement national par le gouvernement. La mesure a été annoncée par l’Argentine Private Teachers Union (SADOP) avec d’autres syndicats au siège du CGT.
Du syndicat, ils ont expliqué que la réclamation indique non seulement la mise à jour du salaire, mais aussi la défense de l’éducation publique, notant que Le sol salarial actuel a été fixé par décret en août et qu’aucune mesure n’a été prise pour examen.