Suite aux questions adressées à l’Autorité des Titres par les investisseurs, le Département des Enquêtes, du Renseignement et du Contrôle Commercial de l’Autorité des Titres confirme que le questionnaire distribué aux investisseurs d’Eli Shemesh le 26/05/24 via WhatsApp, est bien un questionnaire distribué par l’Autorité des Titres. Département.
L’autorité déclare que le fait de remplir le questionnaire vise à éviter aux investisseurs concernés d’être convoqués à témoigner dans les bureaux du département d’enquête et est important pour l’avancement de l’enquête pénale contre Shemesh et ses partenaires dans les crimes.
Rappelons que la Securities Authority enquête sur des soupçons d’activités illégales d’Eli Shemesh et d’autres suspects dans la gestion de l’argent des investisseurs.
Le 11 avril 2024, l’Autorité des valeurs mobilières a annoncé avoir ouvert une enquête ouverte sur le cas d’Eli Shemesh et d’autres suspects, soupçonnés d’avoir commis des infractions de gestion de portefeuilles d’investissement sans autorisation, conformément à la loi sur la réglementation de la pratique de Conseil en investissement, marketing d’investissement et gestion de portefeuille d’investissement, délits de création d’un accord d’investissement commun illégal et délits Offre au public de parts sans prospectus dont l’Autorité a autorisé la publication conformément à la loi sur les investissements conjoints en fiducie, délits de réception de quelque chose frauduleusement avec circonstances aggravantes selon le Code pénal, ainsi que des délits de blanchiment d’argent selon la loi relative à l’interdiction du blanchiment d’argent, et ce concernant les événements survenus de 2020 à aujourd’hui.
Selon les soupçons, au cours de la période mentionnée, les suspects, chacun selon leur part, ont géré les fonds d’environ 200 clients, pour un montant total d’environ 17 millions de NIS, alors qu’ils ne disposent pas d’une licence pour gérer des portefeuilles d’investissement. au soupçon, dans le cadre de cette activité, les suspects ont proposé au public un investissement conjoint en titres dans le cadre d’un montage qu’ils ont créé à cet effet, et ce non selon un permis ou un prospectus comme l’exigent les dispositions des Investissements Conjoints en Fiducie Loi.
En outre, ladite activité aurait été menée en trompant les investisseurs et en présentant de fausses déclarations, notamment l’utilisation des fonds des investisseurs pour les besoins personnels des suspects et non au profit de l’investissement promis, y compris l’utilisation des investisseurs. ‘ fonds pour les paiements à d’autres clients (“fraude pyramidale”).