La Suisse poursuivra son programme de réinstallation de réfugiés en 2024
Le Conseil fédéral a annoncé ce vendredi que 1600 réfugiés en situation précaire dans leur pays de premier accueil pourront être reçus courant de l’année prochaine.
Ce programme, actuellement suspendu, ne sera toutefois activé qu’en concertation avec les cantons et les communes.
KEYSTONE/Michael Buholzer
La Suisse poursuivra le programme de réinstallation de réfugiés en 2024-2025. Elle pourra accueillir au maximum 1600 réfugiés particulièrement vulnérables qui se trouvent en situation précaire dans leur pays de premier accueil, a annoncé vendredi le Conseil fédéral.
Ce programme, actuellement suspendu, ne sera toutefois activé qu’en concertation avec les cantons et les communes. Les admissions ne reprendront que lorsque la situation en matière d’asile sera suffisamment apaisée pour permettre la prise en charge de ces personnes vulnérables, précise le gouvernement dans un communiqué.
Lors d’une session extraordinaire consacrée à l’asile, le Conseil des États avait demandé jeudi la suspension de ce programme pour les deux prochaines années en raison de l’état de surcharge actuel. Le texte avait reçu le soutien de l’UDC, de la quasi-totalité du PLR et de certains élus du Centre.
ATS
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La Suisse poursuivra son programme de réinstallation de réfugiés en 2024. Le Conseil fédéral a annoncé ce vendredi que 1600 réfugiés en situation précaire dans leur pays de premier accueil pourront être reçus courant de l’année prochaine. Publié aujourd’hui à 14h43.
Ce programme, actuellement suspendu, ne sera toutefois activé qu’en concertation avec les cantons et les communes. Les admissions ne reprendront que lorsque la situation en matière d’asile sera suffisamment apaisée pour permettre la prise en charge de ces personnes vulnérables, précise le gouvernement dans un communiqué.
Lors d’une session extraordinaire consacrée à l’asile, le Conseil des États avait demandé jeudi la suspension de ce programme pour les deux prochaines années en raison de l’état de surcharge actuel. Le texte avait reçu le soutien de l’UDC, de la quasi-totalité du PLR et de certains élus du Centre.
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