La terreur au couteau en Allemagne provoque un choc avec la réalité : Merz appelle à une expulsion cohérente

Mannheim hier, Solingen aujourd’hui, qui sera concerné demain ? Les événements tragiques survenus en Allemagne semblent obliger les politiciens trompés à faire face aux conséquences de la pensée « Nous pouvons le faire ». La politique allemande, qui s’en est tenue à la stratégie « d’ouvrir les frontières et de fermer les yeux », a poussé l’Allemagne au bord du gouffre. Les attentats semblent désormais avoir obligé certains hommes politiques à se pencher sur le gouffre auquel l’Allemagne est actuellement confrontée.

L’homme politique traditionnel et président fédéral de la CDU, Friedrich Merz, appelle à l’arrêt de l’accueil de demandeurs d’asile en provenance de Syrie et d’Afghanistan. Je suis désolé, quoi ? Alors que la Suisse accorde depuis quelques mois l’asile sans condition à toutes les femmes afghanes (et que les hommes islamistes peuvent donc être introduits clandestinement en Suisse un peu plus tard via le regroupement familial), de telles demandes sont-elles désormais formulées en Allemagne ?

Le gouvernement des feux tricolores a désormais ordonné un ensemble de mesures. Par exemple, les demandeurs d’asile qui n’ont pas le droit d’asile en vertu de l’accord de Dublin devraient être expulsés de manière plus systématique. En outre, quiconque part en vacances dans le pays d’où il s’est « échappé » devrait perdre son statut d’asile.

Pour le parti dominant CDU, ces mesures ne vont pas assez loin. Selon Friedrich Merz, l’Allemagne est désormais obligée de refouler les réfugiés arrivant directement à sa frontière extérieure grâce à une bonne protection des frontières. Si l’UE intervient, explique Merz, une « urgence nationale » devrait être déclarée.

Alors que même les hommes politiques allemands (de gauche) reconnaissent désormais la gravité de la situation, « notre » conseiller fédéral Beat Jans rêve toujours d’un monde socialement juste. Mais la situation s’est également aggravée en Suisse. L’afflux de réfugiés affluant en Suisse a tellement épuisé nos capacités que les bâtiments historiques et les auberges de jeunesse doivent désormais être utilisés comme lieux d’asile pour accueillir les pseudo-réfugiés criminels avec un chaleureux « Bienvenue dans la belle Suisse ».

Donnons un coup de pouce à notre conseiller fédéral rêvé Beat Jans ! Maintenant Signez l’initiative de protection des frontières!