La venue du maire ultra-conservateur de Téhéran à Bruxelles dans le cadre du sommet Brussels Urban Summit a conduit à la démission du secrétaire d’État bruxellois en charge de l’Urbanisme et des Relations internationales, Pascal Smet. La démission sera annoncée lors d’une conférence de presse organisée à son cabinet. Le Parti socialiste, partenaire politique de Smet, a été informé de sa décision. Le poste de secrétaire d’État sera probablement occupé par Ans Persoons, échevine en charge de l’Urbanisme à la Ville de Bruxelles. Cette décision va à l’encontre des députés, tant de l’opposition que de la majorité, sauf Défi, et constitue un précédent dans l’histoire de la région bruxelloise.
Pascal Smet a démenti avoir exercé des pressions sur les Affaires étrangères, en particulier sur la ministre Hadja Lahbib. Il a affirmé qu’il avait invité la ville de Téhéran à Bruxelles par le biais de Metropolis, dans un contexte international, sans demander directement la présence du maire lui-même. Les échanges de mails entre les cabinets de Smet et Lahbib ont néanmoins soulevé des interrogations, notamment une correspondance dans laquelle il est indiqué que la Région de Bruxelles-Capitale se conforme à la position des Affaires étrangères belges et qu’aucune action ne sera entreprise pour faciliter l’obtention des visas pour les participants iraniens. Cependant, un autre mail de l’organisateur de l’événement Metropolis semble contredire cette version, suggérant que Pascal Smet a réussi à obtenir l’autorisation pour la participation des membres iraniens au sommet urbain de Bruxelles. Certains députés remettent en question la divulgation complète de tous les échanges de mails par Smet, car ils ne trouvent aucune correspondance entre le 3 mai et le 10 mai.
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