L’activité immobilière au Québec au ralenti malgré les signaux rassurants de la Banque du Canada.

L’activité immobilière au Québec au ralenti malgré les signaux rassurants de la Banque du Canada.

Malgré les signaux rassurants de la Banque du Canada, l’activité immobilière demeure au ralenti dans toutes les régions du Québec. En avril dernier, le nombre de transactions immobilières a diminué de 22 %, les délais de vente ont augmenté de 50 % et les prix médians ont chuté de 5 % par rapport à la même période l’année précédente. Ces statistiques ont été communiquées par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), qui se base sur les données de Centris, une filiale de l’association professionnelle. Malgré l’espoir d’un possible plafonnement des taux d’emprunt, l’économiste et directeur du Service d’analyse de marché de l’APCIQ, Charles Brant, qualifie le mois d’avril de “décevant”. Le nombre de ventes a atteint son niveau le plus bas pour un mois d’avril depuis 2000, avec une baisse de 26 % dans la région métropolitaine de recensement de Montréal par rapport à avril 2022. Les copropriétés et les petites propriétés à revenus sont les catégories d’habitations les plus touchées, avec des baisses respectives en avril de 28 % et 37 % pour l’ensemble du Québec. Les prix de vente médians continuent également de baisser, avec une diminution moyenne de 5 % dans la province de Québec par rapport à avril 2022, une baisse atteignant 11 % sur l’île de Montréal. L’inventaire a quant à lui augmenté de 50 % en 12 mois au Québec, de 61 % dans la région métropolitaine de recensement de Montréal et de 31 % dans celle de Québec. Les délais de vente ont également augmenté en moyenne de 50 %.
#Immobilier #des #signes #dun #marché #qui #demeure #ralenti
publish_date]

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.