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L’activité physique réduit le risque de maladie de Parkinson chez les femmes, selon une étude de l’Inserm, de l’université Paris-Saclay et de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. L’étude, menée sur près de 100 000 femmes de la cohorte française E3N pendant 29 ans, a montré que plus les femmes étaient actives au cours de leur vie, moins elles avaient de risque de développer la maladie, avec un bénéfice de l’activité physique déjà présent plus de 20 ans avant le diagnostic. Les chercheurs ont également observé que les femmes présentant des symptômes précurseurs de la maladie dans les dix années précédant le diagnostic ont souvent connu une baisse significative de leur activité physique. Les résultats suggèrent ainsi l’intérêt de la mise en place de programmes préventifs fondés sur l’activité physique chez les personnes à risque de la maladie de Parkinson.

L’activité physique réduit le risque de maladie de Parkinson chez les femmes, selon une étude de l’Inserm, de l’université Paris-Saclay et de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. L’étude, menée sur près de 100 000 femmes de la cohorte française E3N pendant 29 ans, a montré que plus les femmes étaient actives au cours de leur vie, moins elles avaient de risque de développer la maladie, avec un bénéfice de l’activité physique déjà présent plus de 20 ans avant le diagnostic. Les chercheurs ont également observé que les femmes présentant des symptômes précurseurs de la maladie dans les dix années précédant le diagnostic ont souvent connu une baisse significative de leur activité physique. Les résultats suggèrent ainsi l’intérêt de la mise en place de programmes préventifs fondés sur l’activité physique chez les personnes à risque de la maladie de Parkinson.

Parmi les stratégies de prévention de la maladie de Parkinson, l’activité physique est souvent évoquée, mais les études n’ont jusqu’à présent ni permis d’éliminer certains biais ni d’étudier son rôle spécifique chez les femmes. Des chercheurs de l’Inserm, de l’université Paris-Saclay et de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) avec Gustave Roussy, ont étudié l’impact de l’activité physique sur le développement de la maladie de Parkinson chez près de 100 000 femmes de la cohorte française E3N, durant 29 ans de suivi. Ils ont observé que plus les participantes étaient actives au cours de leur vie, moins elles avaient de risque de développer la maladie. De plus, les femmes ayant développé la maladie présentaient, dans les dix années précédant le diagnostic, une baisse significative de leur activité physique probablement causée par des symptômes précurseurs gênants. Ces résultats invitent à considérer la mise en place de programmes préventifs fondés sur l’activité physique chez les personnes à risque de la maladie de Parkinson. La maladie de Parkinson est la deuxième maladie neurodégénérative la plus fréquente en France et il n’y a pas de traitement curatif pour cette pathologie.
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