Ampoules basse consommation : Mythes et réalités
Table of Contents
- Ampoules basse consommation : Mythes et réalités
- Avantage : Durée de vie plus longue ?
- avantage : Moins de perte de chaleur ?
- Inconvénient : Champs électromagnétiques importants !
- Inconvénient : Fréquences de scintillement !
- Ampoules basse consommation : Mythes et réalités – FAQ
- Est-ce que les ampoules basse consommation sont vraiment plus économiques ?
- Les ampoules basse consommation durent-elles vraiment plus longtemps ?
- les ampoules basse consommation émettent-elles des champs électromagnétiques ?
- Faut-il éloigner les ampoules basse consommation ?
- Est-ce que les ampoules basse consommation scintillent ?
- Quel est le problème avec le spectre lumineux des ampoules basse consommation ?
- Les ampoules basse consommation sont-elles écologiques ?
- Quel est le risque lié au mercure contenu dans les ampoules basse consommation ?
- Les lampes “bio” sont-elles une meilleure option ?
- Comparaison Ampoules Basse Consommation vs. Ampoules à Incandescence
L’ampoule basse consommation est-elle réellement avantageuse ? La réponse est nuancée.
Certes,elle consomme moins d’électricité qu’une ampoule à incandescence. Cependant, le rendement lumineux n’est pas toujours aussi favorable qu’annoncé. L’équivalence 11 watts (basse consommation) = 60 watts (incandescence) est souvent exagérée.Cette équation s’avère moins avantageuse selon l’utilisation et le contexte.
Des tests en conditions réelles,notamment avec des lampes de bureau équipées de réflecteurs,ont révélé que le flux lumineux atteignait parfois à peine la moitié de ce qui était promis,avec une consommation électrique parfois supérieure aux indications du fabricant.
De plus,les systèmes à tubes fluorescents fonctionnent de manière optimale à des températures ambiantes et de fonctionnement élevées. Leur rendement lumineux diminue même à température ambiante normale, et encore plus dans les pièces froides.
L’intensité lumineuse diminue également avec le temps, parfois rapidement. Tous ces facteurs combinés réduisent considérablement la luminosité vantée des ampoules basse consommation, parfois de moitié, voire plus.
À l’inverse, une ampoule à incandescence conserve une luminosité constante, qu’il fasse chaud ou froid, qu’elle soit neuve ou ancienne, jusqu’à ce que le filament se rompe.
Avantage : Durée de vie plus longue ?
Là encore, la réponse est mitigée. L’ampoule basse consommation dure plus longtemps qu’une ampoule à incandescence. L’industrie promet 10 000 heures, soit dix fois plus.Mais cela dépend fortement de l’utilisation.Elle supporte mal les cycles d’allumage/extinction fréquents. Elle a besoin de fonctionner longtemps et de refroidir avant d’être rallumée. Si ce n’est pas le cas, sa durée de vie diminue considérablement.
Beaucoup d’ampoules basse consommation ne durent même pas un tiers du temps annoncé, parfois même pas un cinquième. Qui vérifie cela et retourne au magasin ? Qui conserve son ticket de caisse de l’année dernière ?
De plus,elle est beaucoup plus chère. Si l’on tient compte de ce facteur dans le calcul de la durée de vie, l’ampoule à incandescence s’en sort plutôt bien.
avantage : Moins de perte de chaleur ?
Pas si simple. L’ampoule basse consommation ne chauffe pas autant qu’une ampoule à incandescence. Mais est-ce vraiment une perte ? Cette chaleur est disponible pour la pièce, comme toute autre source de chaleur.
Et comme les ampoules à incandescence sont utilisées intensivement pendant la saison froide et sombre, on ne peut pas vraiment parler de perte, mais plutôt de gain de chaleur.
Inconvénient : Champs électromagnétiques importants !
Les ampoules basse consommation émettent des champs électriques et magnétiques plus forts, plus nombreux et différents de ceux des ampoules à incandescence, tant à basse qu’à haute fréquence.
Après de nombreuses mesures, il est clair qu’une ampoule basse consommation ne doit pas être placée près de la tête ou du corps, ni sur un bureau ou une table de chevet.Une distance minimale d’un mètre est recommandée.
Alors que les écrans d’ordinateur sont considérés comme à faibles radiations depuis 15 ans et sont fabriqués avec une réduction de rayonnement coûteuse par précaution sanitaire justifiée, l’ampoule basse consommation vient perturber cet effort.
Elle génère autant, voire plus, de smog électromagnétique dans une lampe de bureau qu’un écran de 21 pouces à côté. Plus de smog électromagnétique que ce que les normes PC autorisent ? Oui.
La norme PC TCO, appliquée dans le monde entier, fixe la limite des champs électriques à 2,5 volts par mètre dans la gamme de fréquences typique des ampoules basse consommation. La plupart des ampoules basse consommation atteignent ou dépassent cette valeur.
Cette pollution électromagnétique supplémentaire est due au fait que les ballasts électroniques intégrés aux ampoules basse consommation augmentent la fréquence d’utilisation habituelle de 50 hertz à plusieurs dizaines de kilohertz, soit 20 000 à 60 000 hertz.
L’Office fédéral suisse de la santé a affirmé en 2004, pour rassurer les consommateurs, que la limite de rayonnement pour les ordinateurs n’était pas dépassée par les ampoules basse consommation, en étayant cette affirmation par ses propres séries de mesures.
Cependant, pour ces tests, soutenus par Osram et Philips, des appareils et des méthodes de mesure non conformes à la norme TCO ont été utilisés, ce qui a conduit à des résultats plus faibles.
La radiation des ampoules basse consommation est contrôlée depuis des années, également pour des magazines de consommateurs, et il est toujours constaté, avec les bonnes configurations de mesure, que l’ampoule basse consommation parvient à éclipser le grand moniteur en termes de smog électromagnétique.
La charge de champ due aux ampoules basse consommation modernes est critiquée depuis longtemps. En 1998, un magazine de consommateurs mettait en garde : « Smog électromagnétique, gardez vos distances ! » Et une fondation de consommateurs en 2006 : « Ce n’est qu’à partir de 1,5 mètre que toutes les ampoules basse consommation testées sont passées en dessous de la valeur de référence de l’ordinateur TCO. »
Par conséquent : « Elles ne doivent être utilisées dans les lampadaires, les lampes de bureau ou les lampes de chevet que si une plus grande distance est respectée. »
Un problème particulier de smog électromagnétique est celui des harmoniques. Les ampoules à incandescence sont pauvres en harmoniques, elles se contentent de la fréquence fondamentale sinusoïdale de 50 hertz.
L’ampoule basse consommation à commande électronique, en revanche, entraîne des fréquences dures et à flancs raides avec de nombreuses harmoniques, tant pour les 50 hertz basse fréquence du réseau électrique que pour les 20 à 60 kilohertz haute fréquence de l’électronique.
On considère généralement que plus l’intensité du champ est forte, plus la fréquence est élevée et plus il y a d’harmoniques, plus le risque biologique est grand.
Ces trois points négatifs électromagnétiques se retrouvent dans l’ampoule basse consommation,mais pas dans l’ampoule à incandescence.
Inconvénient : Fréquences de scintillement !
Les ampoules à incandescence fonctionnent avec la fréquence du réseau de 50 hertz. Cela ne provoque aucun scintillement, la lumière reste uniforme, continue et naturelle, car le filament de l’ampoule est trop lent pour réagir à la fréquence du réseau, il continue de briller pendant un certain temps et exclut donc le scintillement.
C’est différent pour les ampoules basse consommation construites à la manière des tubes fluorescents : le luminophore du tube n’est pas du tout lent et s’allume et s’éteint constamment en fonction de la fréquence, scintille, vacille, cadence, pulse – comme un flash stroboscopique dans une discothèque.C’est énervant.les cadences périodiques de ce type n’existent pas dans la nature. Elles sont considérées comme critiques.
Dans le lexique médical, la lumière des tubes fluorescents et donc des ampoules basse consommation est qualifiée de « facteur de stress ».
Un fabricant met en garde contre l’élevage d’animaux : « Ce processus peut déclencher chez certaines espèces animales une agitation allant jusqu’à des troubles nerveux végétatifs ».
Des experts mettent en garde et des ministères de la santé constatent que les personnes sujettes à l’épilepsie pourraient ressentir des « symptômes similaires à ceux d’une crise ».
C’est aussi pourquoi des ballasts électroniques ont été choisis,qui,comme mentionné,ont augmenté la fréquence dans la gamme de quelques dizaines de milliers de hertz.
L’industrie, les commerçants, les autorités et même les scientifiques qui devraient le savoir affirment maintenant que le scintillement est ainsi supprimé.
Même les conseils aux consommateurs et les commerçants écologiques ont souvent adhéré à cette opinion.## Les dangers cachés des ampoules basse consommation
Les ampoules basse consommation, souvent présentées comme une solution écologique, suscitent de plus en plus d’interrogations quant à leurs effets sur la santé.Si l’argument de l’économie d’énergie est indéniable, il est crucial d’examiner les inconvénients potentiels de ces sources de lumière artificielle.
### Le mythe du “sans scintillement”
On entend souvent dire que les ampoules basse consommation ne scintillent plus.C’est faux. Des études indépendantes ont confirmé la persistance d’un scintillement, mais à une fréquence plus élevée, de l’ordre de 20, 30, voire 40 kilohertz.
Ce scintillement à haute fréquence, combiné au scintillement à 100 hertz du réseau électrique, crée un véritable “orage de flashs” à deux vitesses.
Bien que l’œil humain ne puisse percevoir ce scintillement rapide,cela ne signifie pas qu’il est inoffensif. Il pourrait même être plus nocif pour l’organisme que le scintillement à basse fréquence.
De nombreuses personnes se plaignent de divers symptômes lorsqu’elles sont exposées à la lumière des ampoules basse consommation et autres tubes fluorescents. Ces symptômes pourraient être liés à ces fréquences de scintillement.
Certains ressentent une pression dans la tête, des vertiges, un malaise général, de la faiblesse, des nausées, des tremblements, de la nervosité, de l’anxiété, une sensation de froid, des troubles neurologiques ou des symptômes similaires à ceux de l’hypoglycémie.
Des expériences ont montré que la suppression du scintillement,par exemple en utilisant un ballast à courant continu (techniquement possible uniquement avec les grands tubes),atténue ces symptômes.
Le fait que ces problèmes surviennent même à distance des sources lumineuses, comme des plafonniers ou des éclairages dans de grands espaces, suggère que le scintillement, et non le smog électrique, est en cause. Le smog électrique des ampoules basse consommation est limité à environ un mètre,et à deux mètres pour les grands tubes. Au-delà, seul le scintillement affecte l’ensemble de la pièce.
### Études de cas
De plus en plus de cas témoignent de l’impact des ampoules basse consommation sur la santé.
un jeune garçon de 12 ans souffrait de maux de tête et de brûlures aux yeux, surtout en faisant ses devoirs. Après avoir retiré l’ampoule basse consommation de son bureau, les symptômes ont disparu.Un médecin a retiré 34 ampoules basse consommation de son cabinet. Lui et son personnel ont constaté une disparition des maux de tête et des problèmes de concentration.
Un patient atteint de la maladie de Parkinson a vu ses tremblements diminuer, une personne souffrant de polyneuropathie a ressenti moins de douleurs musculaires, et une personne atteinte de MCS (sensibilité chimique multiple) a constaté une diminution des sensations d’engourdissement. L’exposition à la lumière des tubes fluorescents aggravait ces symptômes.### Une lumière artificielle de mauvaise qualité
Le spectre lumineux des ampoules basse consommation est particulièrement déficient, bien plus que celui des autres éclairages artificiels.
La lumière du jour reste la meilleure option. Les ampoules à incandescence et halogènes offrent un spectre lumineux plus équilibré et proche de la nature, avec une dominante de rouge rappelant le soleil levant ou couchant, ce qui leur confère une chaleur et un confort particuliers.
Les ampoules basse consommation, comme les tubes fluorescents, présentent un spectre lumineux très inhomogène et artificiel. Elles mettent en avant certaines couleurs, souvent seulement deux, de manière abrupte, tout en négligeant les autres, essentielles à une lumière harmonieuse et saine.
Des scientifiques et des médecins attribuent ces mauvaises compositions lumineuses à divers problèmes de santé,allant des maux de tête à la suppression du système immunitaire,en passant par les problèmes hormonaux et les crises d’épilepsie.
« Les lampes ont une très unregelmäßige spektrale Verteilung. Das Licht besteht aus einzelnen blauen und roten spitzen, statt aus allen Wellenlängen.Das könnte auf Menschen schädlich wirken. »
Les lampes “bio”, dites “lumière du jour”, “à trois bandes” ou “à spectre complet”, sont légèrement meilleures. Elles sont parfois présentées comme une choice au soleil, promettant vitalité, anti-âge, absence de stress, et une excellente restitution des couleurs.
Cependant, elles ne produisent pas non plus un spectre complet. Au lieu de deux couleurs dominantes comme les ampoules bas de gamme, elles en ont trois. Le spectre reste inhomogène, avec des pics et des creux, et bien moins équilibré que celui des ampoules à incandescence, halogènes ou de la lumière naturelle. de plus, elles scintillent toujours, même de manière invisible.
### Fabrication polluante et mercure toxique
La fabrication des ampoules basse consommation est un autre point critique.
Les fabricants et les vendeurs mettent souvent en avant leur caractère “écologique” et “économe en énergie”, mais ils oublient que leur fabrication nécessite environ dix fois plus d’énergie que celle d’une ampoule à incandescence.
Alors qu’une ampoule à incandescence se compose simplement de verre, de fil, de filament, de support et de culot métallique, l’ampoule basse consommation requiert une technologie de pointe complexe et polluante : ballast, circuit imprimé, tube à décharge, condensateur, générateur, allumeur, électrode, fusible thermique, connecteur, colle, substances et revêtements chimiques luminescents, soudure, boîtier en plastique… et mercure.
Chaque ampoule basse consommation contient du mercure toxique, en moyenne environ 5 milligrammes. Certains minimisent cette quantité en parlant de “traces”. Cependant, le mercure est l’un des métaux lourds les plus toxiques et polluants, agissant comme un neurotoxique chez l’homme et l’animal.
En raison de la présence de mercure, ces ampoules, prétendument écologiques, doivent être traitées comme des déchets spéciaux. Or, dans 90 % des cas, elles finissent à la poubelle, puis dans les décharges, contaminant les sols, les eaux souterraines et l’air.Si l’on considère que 20 millions de foyers jettent ne serait-ce qu’une seule ampoule basse consommation par an, cela représente déjà 100 kilogrammes de mercure. Sans parler des innombrables tubes fluorescents.
Des études menées par les fabricants d’ampoules estiment que “plusieurs centaines de kilos de mercure” sont libérés dans l’environnement chaque année en raison de la technologie des tubes fluorescents.
Heilpraktiker Olaf Posdzech
« leuchtstofflampen flimmern – und dies ist wahrscheinlich ihre verhängnisvollste Eigenschaft. Mit Lichtblitzen belasten sie über das Auge direkt das Nervensystem. »
Dieter Aeppli
« Mein 21-jähriger Sohn hatte eine Tischleuchte mit Sparlampe. Er klagte oft über heftige kopfschmerzen, unausstehliche Migräne, starkes Augenleiden und andere Symptome. Die Distanz zur Leuchte betrug 30 cm. Nun haben wir ihm eine 230 Volt Halogen-Tischlampe gekauft – und sämtliche Beschwerden sind vorbei. »
Schweizer Bürgerwelle
« Die Energiesparlampe ist nicht die Lösung. Viele Menschen wissen aus Erfahrung: In Kopfnähe verursachen sie Kopfdruck, Kopfschmerz, Schwindel, inneres vibrieren, Konzentrationsschwierigkeiten, Augenprobleme… »
Ampoules basse consommation : Mythes et réalités – FAQ
Est-ce que les ampoules basse consommation sont vraiment plus économiques ?
Non, l’économie est nuancée. elles consomment moins d’électricité, mais leur rendement lumineux peut être inférieur à ce qui est annoncé.
Les ampoules basse consommation durent-elles vraiment plus longtemps ?
Cela dépend de l’utilisation. Elles supportent mal les cycles d’allumage/extinction fréquents et leur durée de vie réelle est souvent bien inférieure à ce qui est promis.
les ampoules basse consommation émettent-elles des champs électromagnétiques ?
Oui, elles émettent des champs électriques et magnétiques importants, supérieurs à ceux des ampoules à incandescence.
Faut-il éloigner les ampoules basse consommation ?
Oui, une distance minimale d’un mètre est recommandée, surtout près de la tête ou du corps.
Est-ce que les ampoules basse consommation scintillent ?
Oui, elles scintillent, même si cela n’est pas toujours perceptible à l’œil nu. Ce scintillement peut avoir des effets négatifs sur la santé.
Quel est le problème avec le spectre lumineux des ampoules basse consommation ?
Leur spectre lumineux est artificiel et inhomogène, avec un impact potentiel sur la santé.
Les ampoules basse consommation sont-elles écologiques ?
Leur fabrication nécessite beaucoup d’énergie et elles contiennent du mercure toxique, ce qui pose des problèmes de pollution.
Quel est le risque lié au mercure contenu dans les ampoules basse consommation ?
Le mercure est un métal lourd toxique,un neurotoxique qui peut polluer les sols,l’eau et l’air.
Les lampes “bio” sont-elles une meilleure option ?
Elles sont légèrement meilleures, mais leur spectre reste moins équilibré que celui des ampoules à incandescence ou halogènes. Elles scintillent également.
Comparaison Ampoules Basse Consommation vs. Ampoules à Incandescence
| Caractéristique | ampoules Basse Consommation | Ampoules à Incandescence |
| ————————- | ——————————————————————————————— | ————————————————————————— |
| Consommation Électrique | Inférieure | Supérieure |
| Rendement Lumineux | Peut être inférieur à ce qui est annoncé, diminue avec le temps | Constant jusqu’à la fin de vie |
| Durée de Vie | Peut être inférieure à celle annoncée, sensible aux allumages/éteignages fréquents | Plus courte |
| prix | Plus cher | Moins cher |
| Champs Électromagnétiques | Émission importante | Faible |
| Scintillement | Oui, même à haute fréquence | Non |
| Spectre Lumineux | Inhomogène et artificiel | Plus équilibré, proche de la lumière naturelle |
| Mercure | Contient du mercure toxique | N’en contient pas |