Laporta se défend des accusations de corruption dans l’affaire des versements pour des avis d’arbitrage et des commissions des arbitres. Il justifie les paiements élevés pendant son dernier mandat en raison d’un travail d’observation accru dû à une augmentation des compétitions sportives. Il affirme que les commissions des arbitres ont été payées pendant 18 ans et que cela représentait un travail important réalisé par des personnes compétentes. Il dénonce une attaque contre le FC Barcelone et la Catalogne de la part de sphères de pouvoir et attaque le Real Madrid, qu’il accuse d’être toujours favorisé par les décisions d’arbitrage. Laporta promet la plus grande transparence à propos de cette affaire et déclare que le club est une victime, pas un responsable de tout crime. Il reconnaît que le club a déclaré les conseils professionnels et les a enregistrés dans la comptabilité, les révisions fiscales pertinentes ayant été passées.

Depuis quelques semaines, le monde du football est secoué par une affaire de taille. Appelée le “Barçagate”, elle met en cause le FC Barcelone et plusieurs de ses hauts dirigeants dans une campagne de diffamation contre des personnalités du football espagnol. Si les faits ont déjà fait couler beaucoup d’encre, c’est une nouvelle étape qui a été franchie ce jeudi 8 avril 2021 avec la réaction de Joan Laporta, le nouvellement élu président du club. Dans un discours enflammé, il a dénoncé une “gigantesque campagne de diffamation” et apporté son soutien aux victimes. Retour sur les derniers développements de cette affaire qui passionne les foules.


Joan Laporta, président du FC Barcelone, s’est défendu contre les allégations récentes sur les paiements effectués par le club, affirmant que tout était transparent et légal. Il a justifié les 7,3 millions d’euros versés à la commission des arbitres en précisant que cela avait été fait sur 18 ans par des personnes compétentes. Il a également dénoncé une attaque contre le club et la Catalogne par des sphères du pouvoir. Alors que le parquet n’a pas pu démontrer de corruption, Laporta a admis qu’il y avait eu des versements intégrés dans la comptabilité, mais qu’il n’y avait pas d’intention de cacher des choses. Il a promis que la plus grande transparence serait appliquée sur cette affaire.