2024-11-24 14:41:00
Le gouvernement de Javier Milei a dénoncé samedi des actes de « harcèlement » et d’« intimidation » contre les demandeurs d’asile vénézuéliens dans son ambassade à Caracas, qui reste sous la protection diplomatique du Brésilcomme l’avait déclaré quelques heures auparavant sur les réseaux sociaux l’un des six opposants hébergés au siège diplomatique.
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“La République argentine condamne les actes de harcèlement et d’intimidation contre les personnes ayant obtenu l’asile à l’ambassade d’Argentine à Caracas, actuellement sous la protection diplomatique du gouvernement du Brésil”, a déclaré le ministère argentin des Affaires étrangères dans un communiqué publié sur le réseau social X.
Il Le dirigeant de Milei a affirmé que le “déploiement des forces armées”, la “fermeture des rues” autour de l’ambassade d’Argentine à Caracas et “d’autres manœuvres constituent une perturbation de la sécurité”. qui doit être garantie aux sièges diplomatiques conformément au droit international, ainsi qu’à ceux qui ont demandé l’asile diplomatique”.
La police garde l’ambassade d’Argentine à Caracas
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Dans sa déclaration, l’Argentine “a appelé la communauté internationale à condamner ces pratiques et à exiger le sauf-conduit nécessaire pour permettre le départ” du Venezuela des six opposants réfugiés au siège diplomatique depuis mars dernier, après que le parquet vénézuélien a accusé eux de divers crimes, tels que le complot et la trahison.
Merci au Brésil
En outre, a remercié le gouvernement du Brésil pour « avoir représenté les intérêts argentins au Venezuela, en assumant la protection des locaux diplomatiques »et pour leurs efforts visant à garantir la sécurité des demandeurs d’asile contre le harcèlement du régime vénézuélien.
“La République argentine réaffirme son engagement en faveur de la défense des droits de l’homme, du respect des normes internationales et de la sécurité des personnes en situation d’asile”, conclut le communiqué.
Grâce au réseau social et tactique (DAET) de la Police nationale bolivarienne (PNB), “encerclez le siège diplomatique et bloquez l’accès aux rues”.
C’est le troisième “siège” signalé par Urruchurtu devant la résidence argentinedont la protection a été assumée en août dernier par le Brésil après l’expulsion des diplomates argentins du Venezuela le même mois.
La police encercle l’ambassade d’Argentine à Caracas.
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Cependant, le gouvernement du Venezuela a révoqué cette autorisation en septembre en raison de la planification présumée d’actes terroristes à l’intérieur du siège par des demandeurs d’asile.
Après la mesure, Le ministère brésilien des Affaires étrangères a indiqué qu'”il restera à la garde et à la défense des intérêts” de l’Argentine jusqu’à ce que l’exécutif Milei « désigne un autre État acceptable » pour le gouvernement de Nicolas Maduro.
Outre Urruchurtu, Magalli Meda, directrice de campagne pour les élections présidentielles, est également présente à l’ambassade d’Argentine ; Claudia Macero, coordinatrice des communications de VV ; Omar González, ancien député ; Humberto Villalobos, coordinateur électoral du Commandement de campagne du VV, et l’ancien ministre Fernando Martínez Mottola, conseiller de la Plateforme unitaire démocratique d’opposition.
EFE
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