Laura Freigang avec l’équipe DFB : Est-ce suffisant pour les JO ?

Zig mal nominiert, zig mal ist nichts passiert. So verliefen bislang die Besuche von Stina Johannes bei der deutschen Frauenfußball-Nationalmannschaft. Bis zum Dienstagabend in der Hafenstadt Gdynia, als die Torhüterin der Frankfurter Eintracht beim 3:1 gegen Polen endlich ihr Debüt in der DFB-Auswahl geben durfte.

„Das ist nicht selbstverständlich“, sagte die 24-Jährige. „Ich habe lange darauf hin gearbeitet, es war ein besonderer Tag für mich.“ Keiner, an dem sie sich besonders auszeichnen konnte. Dafür tauchten die Polinnen im EM-Qualifikationsmatch zu selten am deutschen Strafraum auf und beim frühen Gegentor (12. Minute) war Stina Johannes machtlos.

Insgesamt deutet vieles darauf hin, dass es von der aus Frankfurt zum DFB entsandten Gruppe ein paar Spielerinnen nicht in den nur 16 Feldspielerinnen und zwei Torhüterinnen umfassenden Kader für die Olympischen Spiele in diesem Sommer schaffen könnten.

A commencer par Johannes, le numéro trois régulier, pour qui il ne sera pas possible de dépasser les anciens Francfortois Merle Frohms et Ann-Kathrin Berger. Laura Freigang, Pia-Sophie Wolter et Nicole Anyomi sont également des candidates fragiles qui soit n’ont pratiquement pas eu de temps de jeu lors des deux matches internationaux contre la Pologne, soit n’ont pas pu l’utiliser à leur avantage.

Sara Doorsoun a fait bonne impression. Même si elle n’a pas été pleinement mise au défi, elle a agi avec vigilance et confiance dans la construction du jeu. Elisa Senß s’est bien présentée lors des deux matchs. La originaire de Leverkusen fera partie de l’équipe SGE à partir du 1er juillet. Après son remplacement, elle a égayé le jeu allemand. L’arrière droite Wolter n’a pas pu profiter de son opportunité lors de son troisième match international, le premier depuis le début, mais cela s’est terminé à la mi-temps.

Malgré une saison convaincante à Francfort, Nicole Anyomi traverse une période difficile avec l’entraîneur national Horst Hrubesch. La joueuse offensive n’a fait qu’une brève apparition lors de la victoire 4-1 contre la Pologne vendredi.

Laura Freigang a été autorisée à jouer une mi-temps chacune – avec plus d’influence sur le match en seconde période à Rostock qu’en première mi-temps à Gdynia. “Elle ne marque pas assez de buts”, a déclaré Hrubesch. « Les qualités de Laura sont en fait bien connues : c’est un gars qui peut aller de l’avant. »

Deux choses préoccupent Freigang : s’il y en a assez pour Paris et si un accord peut être conclu avec l’Eintracht pour prolonger leur contrat, qui expire à la mi-2025. « Nous sommes en pourparlers, ce n’est pas un secret. Je ne peux pas, je ne veux pas et je ne devrais pas révéler d’autres détails », a déclaré Freigang.