L’Autriche échoue en huitièmes de finale contre la Turquie

Roter Rauch stieg auf, die roten Fahnen wehten im Leipziger Regen, so nass wie die Menschen, die sie schwenkten. Aber es waren nicht wie in den vergangenen Wochen die zahlreichen Fans aus Österreich, die damit ihre Freude ausdrückten. Sie schauten mit erstarrten Gesichtern hinüber auf die andere Seite, wo die Türken am Dienstagabend ihr Glück kaum fassen konnten: Im letzten Spiel des EM-Achtelfinales gelang der Türkei eine Überraschung mit dem 2:1-Sieg gegen die favorisierten Österreicher. Im Viertelfinale trifft die Mannschaft an diesem Samstag nun auf die Niederlande.

Schlechter hätte das Spiel für Österreich nicht beginnen können. Nach 57 Sekunden traf die Türkei im Anschluss an einen Eckball. Verteidiger Demiral jagte den Ball unter die Latte, mit der Entschlossenheit eines Mannes, der ein Geschenk erkennt und nicht ablehnt, wenn es ihm vor die Füße rollt. Baumgartner hatte Posch beim Klärungsversuch angeschossen, Torwart Pentz verhinderte das nächste Eigentor dieser EM, nur beförderte er den Ball genau in Richtung von Demiral.

Österreichs Spiel bekommt ein frühes Gegentor in etwa so gut wie ein Großeinkauf an der Tankstelle dem Portemonnaie – weil damit klar war, dass die Mannschaft von Trainer Ralf Rangnick statt aus ihrer geschätzten Konterhaltung selbst agieren musste.

Also versuchte sie, so schnell wie möglich zum Ausgleich zu kommen. In einem Tempo, das an die Konter im Spiel gegen die Niederlande (3:2) erinnerte. Von der dritten bis zur siebten Minute hätte Österreich drei Tore schießen können. Zwei Mal Christoph Baumgartner und ein Mal Phillipp Lienhart sündigten vor dem gegnerischen Tor.

Il était clair que le jeu ne pouvait pas continuer à cette vitesse. Les événements se sont déroulés beaucoup trop rapidement, beaucoup trop sauvagement, pour que les pieds humains puissent les supporter. Le silence descendit, mais seulement sur la pelouse. Dans les tribunes, les supporters des deux équipes se sont livrés à une compétition vocale comme le stade de Leipzig a rarement vu.

L’Autriche avait davantage le ballon, mais il était clair que l’équipe n’était pas à l’aise avec ce ballon. L’Autriche n’a pas réussi à jouer suffisamment jusqu’à la pause pour poser des problèmes à la défense turque. Ce sont avant tout les dirigeants turcs qui ont surpris leurs adversaires. C’est en tout cas la prestation des hommes de Rangnick qui a donné cette impression. En mars, l’Autriche s’est imposée 6-1 lors du test, mais il n’y avait aucune trace d’une telle facilité à l’époque.

Il y avait aussi un manque de pénétration, qui avait tant distingué l’Autriche lors de ses victoires contre la Pologne et les Pays-Bas. Sans but. Pas de chance. Aucune confiance en soi. L’Autriche a continué à pousser, mais c’est la Turquie qui a marqué. Toujours selon le modèle éprouvé : corner de Güler, but de Demiral. Cette fois avec sa tête.

La chance qu’a eu l’Autriche en phase de groupes semble avoir été épuisée. Ce n’était pas comme si la Turquie était dominante ou particulièrement habile à contre-attaquer. Elle a simplement marqué et cela avec une énorme efficacité.

L’Autriche avait plus que jamais besoin d’un but et, bien sûr, il est venu sur corner. Gregoritsch a fait passer le ballon au-delà de la ligne après un peu plus d’une heure. En joker, il a initié une phase finale tout aussi passionnante que le début de la partie. L’Autriche frappait centre après centre dans la surface de réparation, mais une jambe, une tête ou une autre partie du corps gênait toujours. Finalement, c’est le gardien Günok qui a empêché le score de 2-2 avec un arrêt incroyable.