L’avis de Tomás Gómez : Pacte PP-PSOE

L’avis de Tomás Gómez : Pacte PP-PSOE

2023-07-28 10:30:34

Le résultat de la politique des blocs est une gouvernance difficile et un chantage des extrêmes. Ayant gagné 23 J, feijóo a impossible d’être investi après Ortuzar ont brûlé la dernière cartouche qui restait au Galicien.

La décision du PNV va au-delà du rejet Voix. La houle est celle d’un gouvernement épuisé, d’un Président porté et collecter devenir hégémonique dans les territoires classiques nationalistes.

Ils commettent une erreur en se concurrençant pour l’électorat nationaliste de gauche, car ils n’y parviendront pas et, de plus, ils perdront le soutien de ce qui a été leur masse électorale centrale. Cependant, Bildu ne serait pas son concurrent sans le blanchiment que les abertzales ont eu cette législature.

Ni Sánchez il a les choses simples. En attendant de connaître l’incidence du vote étranger, qui pourrait se déplacer jusqu’à deux sièges en faveur du populaire, l’investiture du leader socialiste dépend d’un réseau complexe d’intérêts.

En premier lieu, relancer le gouvernement de coalition, nécessitera une tripartite. Podemos a décidé de créer son propre groupe parlementaire et de négocier ses propres intérêts. Iglesias sait que ses sièges sont essentiels et il en a combien à régler.

Leurs revendications restent à voir en Conseil des ministres, mais on a pu voir Irene Montero occuper, encore une fois, le portefeuille de l’égalité.

Du côté de l’indépendance catalane, ERC Il a pris bonne note de ses résultats et de la façon dont le PSC lui a arraché plusieurs milliers de voix. Sans aucun doute, Junqueras et Rufián ont besoin de Sánchez à Moncloa pour continuer à avancer dans leur projet politique, mais ils ont aussi besoin, et dans une plus large mesure, d’être les “réalisateurs” de Catalogne.

La question la plus épineuse, pour le PSOE, est celle de Puigdemont. Un pacte avec un sécessionniste, un fugitif de la justice, aurait été de la politique fiction avant Sánchez, pourtant, la tenue d’un référendum et la grâce de plusieurs centaines d’indépendantistes sont sur la table dont Puigdemont ne se relèvera pas sans se prendre la viande entre les dents.

Les Espagnols ont voté dimanche contre les extrêmes. Ils l’ont fait contre Vox, d’où le résultat final du PSOE, et aussi contre le mouvement indépendantiste, c’était la raison du victoire du PP, en croissance de 47 sièges.

La société espagnole veut centralité, modération et éloigner les clés de la gouvernabilité des extrêmes. Le seul accord qui désarmerait l’extrême droite et les indépendantistes serait celui entre le PP et le PSOE, le reste est Abascal et Puigdemont.



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