L’avocat d’un réalisateur répond à la tentative de rejet de plainte d’une actrice.
L’avocat a rapidement réagi à la tentative de l’actrice de rejeter la plainte déposée contre elle,qualifiant cette démarche d’« abjecte ».
Dans leur requête en rejet déposée le jeudi 20 mars, les avocats de l’actrice ont qualifié la plainte de 400 millions de dollars de « vindicative et décousue ». Ils ont décrit la plainte comme un « abus profond de la procédure judiciaire qui n’a pas sa place devant un tribunal fédéral ».
L’avocat a répondu dans une déclaration : « La récente requête de Mme Lively visant à se retirer du désastre qu’elle a elle-même concocté est l’un des exemples les plus abjects d’abus de notre système juridique. Des règles strictes sont mises en place pour protéger les innocents et permettre aux individus de se défendre légitimement. Les lois ne sont pas destinées à être déformées et organisées par des élites privilégiées pour servir leurs propres intérêts personnels. »
Freedman a également fait référence à sa réponse à une requête déposée le 18 mars. Dans ce document, il cherchait à rejeter la plainte en diffamation déposée contre lui.
Il a poursuivi : « Comme nous l’avons dit hier en réponse aux mêmes mesures lâches, nous continuerons à tenir Mme lively responsable de ses actes de pure malice, qui incluent la fausse accusation de harcèlement et de représailles à l’encontre de mes clients. Ses allégations fantastiques seront rapidement démenties au fur et à mesure que la découverte progressera, facilement réfutées par des preuves factuelles et tangibles. »
La bataille juridique a commencé en décembre 2024 lorsque l’actrice a poursuivi, les accusant de harcèlement sexuel et d’avoir orchestré une campagne de diffamation pour nuire à sa réputation.
En janvier, il a répondu en déposant une plainte de 400 millions de dollars concernant la situation tendue en coulisses. Les avocats ont dénoncé la plainte comme étant sans fondement juridique et une tentative de réduire l’actrice au silence.
L’équipe de l’actrice affirme que les co-défendeurs sont soumis à l’article 47.1 du Code civil californien,une loi nouvellement promulguée qui interdit les poursuites intentées en représailles à des divulgations publiques de harcèlement sexuel. Ils ont également qualifié l’affirmation selon laquelle elle aurait « conspiré » avec un grand journal américain de tactique d’intimidation, arguant qu’elle était légalement autorisée à divulguer le contenu d’une plainte.
Leur procès est prévu dans un an, le 9 mars 2026.
Les journalistes ont contacté l’actrice et son équipe juridique pour obtenir d’autres commentaires.