Bernardo Silva est l’une des principales attractions du match privé de ce soir entre Barcelone et Manchester City. Lorsque le jeu – une rencontre de solidarité pour ceux qui souffrent de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), promu par l’ancien joueur Juan Carlos Unzué, qui souffre de la maladie – a été présenté en juin, on parlait déjà d’un éventuel transfert de Bernardo Silva à Catalunya, et à l’époque Pep Guardiola a même plaisanté en disant que ce serait «Bernardo et dix autres» sur le terrain.
Et c’est ce qui semble arriver. S’il y a environ deux semaines le transfert semblait pouvoir se faire, malgré les contraintes économiques des Espagnols, le directeur exécutif de City, Ferran Soriano, a de nouveau découragé ceux qui en rêvent encore, une semaine avant la fermeture du marché.
Dans une interview accordée à l’émission ‘Què t’hi jugues’ de Cadena SER, Ferran Soriano a été clair : « Cette histoire a connu de nombreux rebondissements, mais en fait, elle n’a jamais quitté le point de départ. ET [com o campeonato a decorrer] Il est un peu tard pour parler d’entrées et de sorties.»
Pour libérer Bernardo Silva City demande environ 100 millions d’euros, de l’argent que Barcelone n’a pas.