Le Borussia Dortmund est à la recherche d’un nouvel entraîneur et d’un profil très spécifique

Mit dem ganz großen Thema, das bei Borussia Dortmund nicht erst seit diesem Krisenjanuar als Wurzel vieler Probleme wahrgenommen wird, mochte sich Lars Ricken am Samstagnachmittag lieber nicht beschäftigen. Fans auf der Südtribüne hatten während des 2:2 gegen Werder Bremen ein Banner entrollt, mit dem sie den Finger in eine seit vielen Monaten schwärende Wunde legten: „Die Elefanten im Raum ansprechen. Die Probleme stehen nicht an der Seitenlinie!“, stand auf dem Transparent, mit dem die Klubführung dazu aufgefordert wurde, endlich konstruktiv zusammenzuarbeiten.

Vielleicht ist ein wenig Nachsicht mit Ricken angebracht, der ausweichend reagierte, als er auf die Konfliktherde angesprochen wurde, die zuletzt zwischen Trainern, Kaderplanern, Geschäftsführern und Beratern loderten: „Wenn es sportlich nicht läuft, macht jeder die Augen weit auf, guckt links und rechts und bemerkt auf einmal alles“, sagte der für den Sport hauptverantwortliche Geschäftsführer. „Es gibt ja diese Nebenschauplätze nur, wenn es nicht läuft. Wenn es gut läuft, redet da keiner drüber.“

Das stimmt selbstverständlich nicht, die Probleme existieren unabhängig von den Ergebnissen, und es ist Rickens Aufgabe, gemeinsam mit dem im Sommer scheidenden Klubchef Hans-Joachim Watzke einen anderen Weg einzuschlagen. Aber zunächst gibt es drängendere Themen, an denen die Sportliche Leitung arbeitet. Das macht Rickens Ausweichmanöver nachvollziehbarer: Zuallererst muss ja ein Trainer gefunden werden, der das Team während der kommenden Monate betreut.

Gerne hätten Ricken und Sportdirektor Sebastian Kehl schon die am kommenden Mittwoch anstehende Champions-League-Partie gegen Schachtar Donezk mit dem Nachfolger des in der vorigen Woche entlassenen Nuri Şahin bestritten, das klappt nun offenkundig nicht. Am späten Samstagnachmittag nach der Begegnung mit dem SV Werder Bremen erklärte Ricken, dass Interimstrainer Mike Tullberg „auch am Mittwoch auf der Bank sitzen“ werde.

Tullberg avait sans aucun doute fait son travail contre les Brême. Il avait “tout fait au cours des deux derniers jours, il aime notre confiance”, a déclaré le directeur sportif Kehl. La manière détendue, accessible et en même temps très émotionnelle de ce Danois de 39 ans est bien accueillie. Malgré l’énorme pression, BVB “a tout laissé sur le terrain”, a déclaré Tullberg, son discours et son charisme semblaient convaincants.

Tullberg, qui est en fait responsable de l’U 19 du club, est considéré comme un représentant classique du type de coaching “moteur” et a rapporté qu’après ce jour, ils étaient “plutôt positifs que négatifs”. Après tout, le BVB avait réagi à des revers dès le début avec une très haute intensité et beaucoup de volonté.

Le premier de ces revers a été l’échec de Felix Nmecha, qui, après dix minutes, a tellement blessé le genou qu’il a dû être remplacé. Après 20 minutes, les arbitres autour de Christian Dinsert ont puni une légère poussée par Nico Schlotterbeck comme frein d’urgence, le Dortmund a vu le carton rouge. Et pourtant, l’équipe battue a pris une avance de 2-0 grâce à un but de Serhou Guirassy (28e) et en raison d’un hors-jeu de Ramy Bensebaini.

Ricken était heureux de constater que Tullberg n’avait “pas surchargé de mesures tactiques”, avec onze et avec Nmecha, les chances d’une victoire auraient été élevées. Cependant, le directeur général a échappé à la question de savoir si Tullberg pourrait également être une option pour le reste de la saison. Selon les rapports, les responsables s’occupent de Niko Kovač, mais la direction du club n’est pas si convaincue qu’ils veulent lui présenter un contrat long valide.

Après un succès étonnant avec Eintracht Francfurt entre 2016 et 2018, le Croate a ensuite eu des problèmes majeurs avec une équipe du FC Bayern qui a remporté le Triple Under Hansi quelques mois après la séparation de Kovač. Et à Wolfsburg, il est devenu huitième de la première année avant sa libération de quatre ans dans la saison suivante.

Cependant, la question est également compliquée car elle nécessite une décision si elle n’est recherchée qu’une solution provisoire jusqu’à la fin de la saison. Dans ce cas, le cercle des entraîneurs disponibles serait plus grand, peut-être aussi des candidats tels que Roger Schmidt ou même Sebastian Hoeneß seraient prêts à l’engagement envers BVB.

Ou Ricken, Watzke et Kehl traitent-ils plus sérieusement avec le hollandais Erik Ten Hag récemment échoué, qui a récemment échoué par Manchester United, qui serait immédiatement disponible? Beaucoup est concevable, voire absurde, comme une enquête de Christian Streich ou la tentative d’attirer les Bo Henriks qui ont si incroyablement réussi à Massez à Mainz.

Il semble relativement clair que la direction sportive veut avoir un entraîneur plus expérimenté et plus cohérent que l’ami des joueurs şahin. «Nous savons que nous avons très mal joué au football au cours des dernières semaines. Et pour cela, nous nous sentons certainement coupables et avons honte d’avoir amené le club dans une situation pour rejeter Nuri şahin », a déclaré Julian Brandt.

Cette honte est non seulement compréhensible, mais aussi appropriée parce qu’une impulsion décisive pour les changements de changements est sortie de l’équipe d’Edin Terzić à şahin l’été dernier. Cela signifie que les joueurs ont une responsabilité conjointe spéciale pour l’échec du projet avec le seul entraîneur en chef de 36 ans, qui ne pouvait pas leur rendre justice.

Şahin était populaire et agréable pour les joueurs, et les développements de football étaient également reconnaissables, mais la cohérence et un véritable esprit d’équipe n’ont pas été créés. Un nouvel homme devrait maintenant s’occuper de cela – non seulement dans les prochains mois, mais en permanence. La direction du BVB autour de Lars Ricken fait face à une phase de décisions très pionnières.