2024-09-09 21:18:45
In Schweden wurde erstmals ein signifikanter Rückgang der Erkrankungen an schwarzem Hautkrebs (malignes Melanom) bei Menschen unter 50 Jahren festgestellt. Zuvor waren die Zahlen seit den Sechzigerjahren stetig gestiegen. Nach Angaben der beteiligten Forscher wird damit auch erstmals in der EU ein Rückgang der Erkrankungen nachgewiesen. Sie gehen davon aus, dass sich die Tendenz auch in anderen Staaten zeigen wird.
Einer Studie zufolge, die am Montag in der Fachzeitschrift „JAMA Dermatology“ veröffentlicht wurde, gibt es in Schweden bei den Altersgruppen unter 50 Jahren einen Höhepunkt der Erkrankungszahlen in den Jahren 2013 bis 2015, danach aber einen signifikanten Rückgang. Das gilt für Frauen wie auch für Männer, wobei Frauen der Studie zufolge deutlich häufiger an schwarzem Hautkrebs erkranken als Männer. Zuvor waren die Erkrankungszahlen jedes Jahr um rund fünf Prozent gestiegen.
Ältere erkranken häufiger
Bei Älteren steigen die Erkrankungszahlen dagegen weiterhin stark. Von 2005 an hat sich dieser Anstieg noch einmal beschleunigt. Daher gibt es, was die schwedische Bevölkerung insgesamt angeht, keine niedrigeren Erkrankungszahlen. Schweden hat demnach unter anderem nach Australien, Neuseeland und Dänemark die sechsthöchste Erkrankungsrate weltweit.
Une baisse des maladies chez les jeunes a également été récemment constatée en Australie et aux États-Unis. Dans d’autres pays comme la Grande-Bretagne, l’Espagne et la Norvège, une stabilisation des chiffres a été constatée. Toutefois, selon les auteurs de l’étude, aucun pays européen n’a encore signalé une baisse des cas de cancer de la peau noire. L’âge médian de développement d’un cancer de la peau noire en Suède est de 65 ans. Selon l’étude, la mortalité due au cancer de la peau noire a diminué, ce qui s’explique également par de meilleures méthodes de traitement.
Depuis que les vols charters en provenance de Suède se sont dirigés vers le sud, les cas de cancer de la peau noire chez les moins de 50 ans ont augmenté d’environ cinq pour cent chaque année, explique Hildur Helgadottir du FAZ. Le médecin effectue des recherches à l’Institut Karolinska de Stockholm et est l’auteur principal de l’ouvrage. l’étude. « Depuis 2015, le nombre de cas de mélanome malin chez les personnes de moins de 50 ans a diminué pour la première fois depuis la création du registre du cancer en Suède en 1958. La principale raison en est un changement de comportement protecteur. » “Nous accordons désormais beaucoup plus d’attention à la protection solaire qu’auparavant, surtout avec les enfants.”
“Auparavant, les coups de soleil étaient considérés comme renforçants, mais heureusement, ce n’est plus le cas.”
Il faut plusieurs années pour qu’un cancer de la peau apparaisse. Selon Helgadottir, la maladie apparaît en moyenne environ 20 ans après une forte exposition au soleil. Dans les années 1980, il était normal que des enfants se brûlent au soleil. « On voyait souvent des enfants qui se brûlaient à plusieurs reprises et qui avaient des squames et des ampoules. Il était même considéré comme sain et fortifiant d’attraper un coup de soleil. ” Heureusement, cette époque est révolue, dit Helgadottir. De plus, il y avait des solariums pour « bronzer » dans les piscines et les gymnases municipaux, ainsi que chez de nombreuses personnes. Ces solariums ne sont désormais plus aussi répandus.
Hildur Helgadottir estime qu’il y aura également une diminution du nombre de cas de cancer de la peau noire dans d’autres pays de l’UE, comme en Allemagne. En Suède, comme dans d’autres pays nordiques, des chiffres très détaillés du registre de la santé et de la population ont été intégrés à la recherche. Presque tous les cas de cancer sont enregistrés en détail ; les données pour 2023 sont déjà disponibles aujourd’hui. D’autres pays, comme l’Allemagne, n’enregistrent pas les chiffres de manière aussi complète, efficace et à jour, explique Helgadottir.
En Australie, une baisse du nombre de cas a déjà été constatée il y a quelques années, poursuit Helgadottir. Des campagnes pour davantage de protection solaire y ont été menées bien plus tôt qu’en Europe. Le médecin met toutefois en garde contre l’utilisation des chiffres comme une opportunité pour aborder le sujet de la protection solaire de manière plus détendue. C’est plutôt le contraire qui doit s’appliquer. « Les chiffres montrent que ce que nous faisons à propos du soleil fait une grande différence. Les mesures aident. La mortalité diminue également », explique Hildur Helgadottir.
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