Convaincre les résidents qu’ils doivent changer leur comportement qui affecte le climat peut être très difficile dans de nombreux cas. La plupart des hommes politiques préfèrent éviter ce sujet et tentent de répondre de manière plutôt neutre aux questions des journalistes. Mais si les gouvernements veulent imposer des changements, cela n’est possible que de deux manières.
L’une d’elles consiste à offrir aux résidents des réductions (le plus souvent sous forme de subventions) pour des produits et services ayant le moins d’impact sur le climat. La deuxième option consiste à augmenter le prix des produits et services qui exacerbent les problèmes climatiques. Ces prix finiront par devenir insoutenables et les résidents préféreront donc utiliser des options moins chères et, par conséquent, sans impact sur le climat.
Comme cela le montre enquête
de l’Institut allemand de recherche en macroéconomie et en cycle économique, des quotas d’émission qui ils augmentent le prix de l’essence, du diesel, du gaz naturel, du charbon et d’autres produits ou des services, sont inacceptables aux yeux des ménages. Selon l’enquête, avec un tel mécanisme
53 pour cent ne sont pas d’accord Les Allemands, qui ont généralement des opinions très différentes sur les questions climatiques, par exemple, de celles des Tchèques ou des Slovaques.
Selon l’enquête, seulement sept pour cent des personnes interrogées sont d’accord avec le fonctionnement du mécanisme de quotas d’émission, qui affecte les prix des services et des produits, tandis que les autres ne sont pas d’accord ou n’ont aucun commentaire à ce sujet. Consentement à l’introduction de quotas d’émission qui, selon l’Union européenne, devraient dans un premier temps être maintenus à une valeur maximale de 45 euros le thon de dioxyde de carbone et donc influencer le prix des combustibles fossiles, est donc encore minime. Le nouveau système d’allocations, c’est-à-dire plutôt sa prochaine phase sous
avec la désignation ETS 2devrait entrer en service dans trois ans, soit en 2027.
Dans le même temps, le plus grand pourcentage de résidents ayant participé à l’enquête allemande appartenait au groupe de personnes qui disposent déjà aujourd’hui d’un revenu moyen ou inférieur à la moyenne. On peut bien sûr s’attendre à cela du point de vue des préoccupations de ces habitants quant au maintien de leur niveau de vie.
Même si, comme l’a montré l’enquête, une grande partie des personnes interrogées s’accordent sur le fait qu’en ce qui concerne les quotas d’émission et leur influence sur leur vie
ils ne sont pas assez informés ou pas du toutpeu d’informations proviennent du gouvernement ou des hommes politiques individuels. La raison est peut-être simple, à savoir la volonté d’éviter les questions sur les prix.
L’augmentation du prix de l’essence, du diesel ou du gaz naturel affectera considérablement de nombreux habitants, etc. c’est une question très inconfortable pour les politiciensà laquelle il est difficile de répondre sans affecter sa propre crédibilité politique. Cependant, sans une attention politique accrue sur ce sujet, il est peu probable que la prise de conscience du fait que les quotas d’émission constituent l’une des solutions pour empêcher une aggravation du changement climatique sans que l’État ait à investir d’énormes fonds dans des programmes de subventions pour soutenir le remplacement des véhicules ne s’améliorera. un moteur à combustion interne pour les voitures électriques ou le remplacement des chaudières à gaz par des pompes à chaleur.
2024-08-20 19:08:52
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