Le conseil de randonnée mène à la Hesse-bavarienne Spessartweg

Sie standen immer etwas Rücken an Rücken, der bayerische und der hessische Teil des Spessarts. Den föderalen Strukturen geschuldet, gab es keine gemeinsame touristische Vermarktung, und selbst beim Wandern ging man eigene Wege. Noch der 2012 in Hessen ausgewiesene 80 Kilometer lange „Spessartbogen“ verlässt keinen Meter das angestammte Territorium. Die Pflege unterliegt der Naturparkverwaltung, der hessischen, wie es auch eine eigene für Bayern gibt.

Doch seit die Einsicht keimte, dass Außenstehende ein Mittelgebirge als geographische und nicht als Verwaltungseinheit wahrnehmen, kommt Bewegung ins Geschehen. Die beiden Naturparks koordinieren jetzt ihre Prioritäten und Programme, wie auch das Wanderwegenetz keine Grenzen mehr kennt, seit es von etwa 2010 an nach gleichartigen Kriterien überholt und erweitert wurde.

Fehlte noch die Aufnahme der hessischen Spessartwälder in die obere Liga der Fernwege: Mit Name und Symbolik – ein stilisierter Specht – wollen diese auf Etappen berechneten Premiumwege sukzessive die gesamte Region überwölben. Nach zwei innerbayerischen Strecken darf Hessen beim dritten nun den Hauptanteil stellen: Beginnend in Bad Soden-Salmünster und andockend an Weg 2 bei Heigenbrücken, ist damit ein bedeutender Brückenschlag im hessisch-bayerischen Wanderwesen gelungen.

Dazu wählte man – anders als bei dem eher abseitig verlaufenden Spessartbogen – eine gute Wegeführung, die beides, urige Wälder und sehenswerte und vor allem unbekanntere Örtlichkeiten, einschließt. So „fliegt“ der Specht – aus dem Orbtal kommend – auch den Raum Lettgenbrunn mit seinen Besonderheiten an.

Es ist der einzige Ort im Spessart, der über nennenswerte Basaltvorkommen verfügt, zumindest zugänglichen. Das wusste man seit dem 19. Jahrhundert gründlich auszunutzen. Seine Gewinnung erleichterte die Schrägstellung großer Säulen am Hohen Berg, und so blieb fast nichts mehr, als die Lagerstätte 1940 zum Naturschutzgebiet (NSG) erklärt wurde. Auch der nahe Lettgenbrunn liegende Beilstein erhielt schon 1905 diesen Status.

Dort war von den sauber geschichteten Sechskantsäulen des Basalts weitaus mehr erhalten. Die Kompaktheit und geringe Flächigkeit des Gesteins kam eher dem Burgenbau entgegen. Mauerreste der von Kurmainz im 14. Jahrhundert angekauften Burg zum Schutz der Orber Salzvorkommen sind noch erkennbar.

Diese abgeflachte Seite des 30 Meter hohen Felsens fand später eine ganz andere geartete Verwendung – als Beobachtungsposten, seit Militärs in den Dreißigerjahren das Tal zum Üben von Bombenabwürfen räumen ließen. Sämtliche Gebäude Lettgenbrunns einschließlich gotisch-barocker Kirche wurden zerstört.

Die wenigsten der weithin verstreuten Menschen kehrten nach 1945 zurück. Es waren überwiegend Vertriebene und Flüchtlinge, von denen die Neubesiedlung ausging. An die Anfänge erinnern noch einige der ursprünglich einheitlichen Langhäuser mit Wohnung und Stall sowie das 1954 als Simultankirche angelegte Gotteshaus. Geschieden durch den Turm, beten die Evangelischen in der linken und die Katholiken in der rechten Hälfte.

Das etwas abseits liegende Lettgenbrunn fahren selbst am Wochenende Busse an. Die Haltestelle heißt zwar „Kirche“, liegt aber einige Meter davor; der Parkplatz an dem Gotteshaus ist öffentlich, wie auch sonst die großzügigen Straßen des jungen Ortes viel Raum bieten.

Für den Einstieg in die örtliche Wanderwelt wird zwischen „östlich Lettgenbrunn“ – gegenüber vom „Sudetenhof“ – und einem „nördlich“ unterschieden, selbst wenn dieser zentral an der Bushaltestelle liegt. Aus dem Katalog von Zeichen bieten sich zwei Möglichkeiten an. Um gut einen Kilometer verkürzt die Variante mit dem schwarzen E.

La lettre, qui représente la route commerciale historique Eselsweg, dans toute la petite zone verte Jossgarten, touche la caserne des pompiers, puis à gauche dans la tondeuse sud et se levant à droite de Karlsbader Straße. Après 200 mètres, il doit être laissé dans le couloir libre et, comme plus tard dans la forêt, il est toujours tout droit.

Sur le chemin principal, nous avons le même début, seulement vous restez dans la tondeuse sud, devant la zone sportive, dans les prairies. Le “Spessartfähr” peut être négligé. Le facteur décisif est le numéro 15 que vous rencontrez au bord de la forêt. Il mène à travers des épicéments élevés, dont les plus lâches, comme on le voit plus souvent, sont créés dans les couches humides de plus de 400 mètres de tapis de mousse plat.

Delay Forest domine alors après avoir traversé la route de la campagne – quelque peu compensée à droite, à gauche – si elle continue un peu en dessous, pour la laisser complètement derrière 400 mètres plus tard. Pas loin, et le NSG sur le Hohen Berg a été atteint à une grande intersection. Sans le signe, vous courez à environ 300 mètres vers le site de dégradation précédent avec un chemin de point sous Slim Path, où le rock encadre la surface ouverte comme une scène.

Retron, les 15 restent opportunes, bientôt près de la rue, mais clairement abandonnés. Il peut ensuite être traversé dans une bande de stationnement. Un bloc de pierre massif, qui a trouvé la ligne de Paul von Hindenburg en 1917 le 70e anniversaire de Paul von Hindenburg, complété par un dévouement au 80e à quelques mètres à droite, est poussé aux abréviations.

Ensemble, vous pouvez désormais être utilisé sur plusieurs kilomètres de chemins de hauteur agréable vers la gaine. Seuls quelques changements de direction veulent être observés. Je ne laisse que le Bismarckeiche, qui ne se tient plus debout, et sur la croix à sept voies à droite, qui ne change pas beaucoup sur la toile de fond du chêne aéré.

Environ 1500 mètres calculé à partir de cette intersection, le 15 tour à gauche. Il est préférable de rester à la hauteur avec laquelle E est remis à la double ligne rouge marquante après 600 mètres à gauche. Il y a une maison d’orange au bas de la jonction de rue. Des générations d’élèves ont traversé la maison scolaire «Wegscheide» à Francfort en 1920. Même s’il a beaucoup changé, les fibres de fibres ont en attendant la seule cabine téléphonique, les grandes maisons d’hébergement sont toujours disponibles.

Il a fait de la randonnée dans le passé. Un défi spécial était «l’échelle céleste» de l’Orbtal. Heureusement, nous pouvons déménager avec le numéro 8. Vous trouverez ci-dessous SPESSARTWEG 3 (“SPECHT” bleu vert). Il laisse le chemin en faveur de l’orbtal protégé par la nature, que nous poursuivons ensuite sur une attente accrue à gauche. Il se nourrit de l’orbe qui survient ici. Après 1500 mètres, vous passez à droite via le biotope, mais nous devons nous contenter d’une fermeture de métaux au lieu d’une source romantique.

Ainsi, la rue traverse et le “pic” augmente fortement dans la pente. Il effectue des virages pointus avant de se mettre à gauche entre les arbres à feuilles caduques légers. Les seules modifications notables sont apportées après 1200 mètres à droite et un deuxième 500 mètres plus à gauche. Cela se déroule au milieu des deux moitiés – bien protégé par les couloirs d’arbres – un terrain de golf sur lequel un chemin sinueux se connecte à la route de la campagne.

Là-bas, vous vous balancerez bientôt vers le Beilstein à droite. Il semble toujours discret pour construire un énorme bloc au bon tour. Si vous voulez le grimper, alors à gauche. Les piliers de basalte, qui sont en couches comme des bûches en bois gris, y sont également touchés.

Via le 66 à la mauvaise sortie orbe, plus à travers la ville spa et à la fourche en direction de Flörsbachtal à sept kilomètres de Villbach; Ici a quitté Lettenbrunn. Il est préférable de se garer devant l’église. Là, la gare routière Wächtersbach (ligne 83) et Bad Orb (81) se déroulent de deux heures.

Depuis la création de la route de randonnée à longue distance du pays croisé “Spessartweg 3”, le Hessian Spessart a reçu plus d’attention, tels que les caractéristiques géologiques et historiques de la municipalité de Lettgenbrunn près de Bad Orb. Même avant la Première Guerre mondiale, autorisé les problèmes militaires, il a dû être externalisé à nouveau à l’ère nazie pour pratiquer les bombardements. L’ensemble du développement a été détruit. Le bâtiment le plus remarquable de la reconstruction est l’église simultanée construite en 1954 avec une tour centrale entre la moitié protestante et catholique.

L’endroit est probablement connecté au château de Beilstein voisin, qui a été créé sur une roche de basalte frappante. Mentionné en 1059, il a gagné en importance depuis l’acquisition de Kurmainz 1343 pour protéger les sources de sel Orber. Le monolithe a été protégé sur près de six hectares depuis 1930 ainsi que la dernière rupture de basalte sur Hohen Berg voisin. Pour la première fois en 1940, le NSG en 1983 a été élargi pour inclure des actions de hêtre précieuses à 32 hectares