Le développeur de Cherrywood poursuit les sociétés de Johnny Ronan pour un contrat de bureau de 35 millions d’euros

Le développeur de Cherrywood poursuit les sociétés de Johnny Ronan pour un contrat de bureau de 35 millions d’euros

La Haute Cour a autorisé une société de développement à engager dans un bref délai une procédure contre les sociétés du groupe Johnny Ronan dans le cadre d’un litige concernant le développement d’un immeuble de bureaux de 35 millions d’euros à Cherrywood, au sud de Dublin.

DLR Properties Ltd a intenté une action contre RGRE Devco 4 Ltd (RGRE 4) et Ronan Group Real Estate Ltd pour obtenir des déclarations selon lesquelles un accord de développement entre les parties a été valablement résilié en raison de manquements des défendeurs.

DLR demande également des dommages-intérêts et une injonction ordonnant la suppression du site Web du groupe Ronan des déclarations qui indiquent ou impliquent que les défendeurs ont un titre ou un intérêt légal ou équitable dans le site de bureaux prévu.

Elle demande également des corrections et des interdictions concernant d’autres publications de ce type, ainsi que des dommages-intérêts pour diffamation.

Vendredi, le juge Garrett Simons a accordé une brève signification de la procédure aux accusés à la suite d’une demande unilatérale représentée par Marcus Dowling SC, avec Elizabeth Corcoran BL, mandatée par Sharon Scally d’Amorys Solicitors, pour le DLR.

Le juge les a rendus restituables la semaine prochaine.

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Il a également donné la liberté au DLR d’engager une procédure visant à ce que l’affaire soit soumise à l’arbitrage.

Le site de bureaux prévu s’étend sur 1,3 acres sur un site total de 13,3 acres à Cherrywood, Loughlinstown, dont 12 acres sont zonés pour le développement du centre-ville.

Le DLR affirme avoir conclu un accord en mai 2019 dans lequel le DLR transférerait les 12 acres à RGRE 4 en échange duquel ce défendeur était tenu de construire sur les 1,3 acres restants un immeuble de bureaux de 145 000 pieds carrés pour un coût (en 2019) de plus de 35 millions d’euros.

Dans une déclaration sous serment, le directeur général du DLR, Conor Dalton, a déclaré que RGRE 4 n’avait pas pris les mesures nécessaires pour construire le bâtiment, violant ainsi ses obligations en vertu de l’accord de développement.

Malgré les avertissements, le défendeur n’a fourni aucune confirmation de son intention de commencer la construction, a-t-il déclaré.

Il a déclaré que RGRE 4 “n’a même pas laissé entendre” quelle pourrait être sa défense face à la demande de dommages-intérêts, et il estime que cela montre qu’elle n’a aucune défense. La plus grande préoccupation de son cabinet est que le RGRE 4 pourrait ne pas constituer une marque de dommages et intérêts.

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M. Dalton a déclaré que RGRE 4 affirme avoir engagé des coûts d’environ 4 millions d’euros dans le cadre de l’accord, mais sans « même laisser entendre » pourquoi il pourrait en être ainsi.

Il a également proféré ce qu’il considère comme de « vagues menaces de prendre des mesures pour protéger sa position » et a affirmé que l’accord entre les parties n’était pas résilié.

Le DLR est préoccupé de toute urgence par les incidents d’intrusion, de diffamation et d’altération de titre qui ont été commis par ou au nom des défendeurs depuis la résiliation de l’accord, a-t-il déclaré.

Il s’agit notamment d’un incident au cours duquel le RGRE 4 a ordonné ou amené des tiers à pénétrer sur le site avec du matériel d’étude géologique sans autorisation.

Les déclarations du site Web du groupe Ronan concernant un intérêt juridique ou équitable dans le site constituent une calomnie à l’égard du titre de DLR, a-t-il déclaré.

“Ces déclarations sont fausses et sont faites de manière malveillante et en sachant qu’elles sont fausses ou de manière imprudente quant à leur véracité ou leur fausseté”, a-t-il déclaré. Ils sont calculés pour causer et sont susceptibles de causer une perte financière au DLR en ce qui concerne ses biens, a-t-il déclaré.

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Les défendeurs savent que le DLR tente de vendre le site et que ces fausses déclarations susciteront de sérieuses inquiétudes parmi les soumissionnaires potentiels et feront échouer ou retarder toute vente, a-t-il déclaré.

Dans sa demande de vendredi, le DLR a également demandé une injonction interdisant au RGRE 4 de déposer une « litispendance » – un avertissement à tout acheteur potentiel d’un éventuel litige à son sujet – sur l’intérêt du DLR dans la propriété.

Cependant, le juge Simons s’est dit préoccupé par cette demande, en particulier dans les circonstances où l’affaire reviendra la semaine prochaine, où le groupe Ronan a fait des déclarations sur son propre site Internet et où cette affaire est susceptible de faire l’objet d’une publicité.

Il n’y aurait aucun préjudice à refuser cette aide à ce stade, a-t-il déclaré.

2024-06-07 18:00:51
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