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Le différend concernant l’hôtel Ard Rí, vacant depuis longtemps, à Waterford, doit être de nouveau porté devant le tribunal – The Irish Times

by Nouvelles
Le différend concernant l’hôtel Ard Rí, vacant depuis longtemps, à Waterford, doit être de nouveau porté devant le tribunal – The Irish Times

Le groupe irlandais Treacys Hotels s’affrontera la semaine prochaine avec le fonds américain Cerberus dans une affaire devant la Haute Cour, clé pour l’avenir d’une propriété emblématique vide depuis plusieurs années.

L’entreprise familiale Treacys affirme avoir accepté d’acheter l’hôtel Ard Rí surplombant la ville de Waterford en novembre 2016 à Promontoria Aran Ltd, qui fait partie du fonds d’investissement américain Cerberus, pour 1,6 million d’euros.

Il indique que Promontoria Aran a ensuite accepté de vendre la propriété à l’homme d’affaires Seamus Walsh pour 1,5 million d’euros, malgré la réception d’un dépôt non remboursable de 160 000 euros de la famille Treacy, déclenchant un litige juridique.

Maria Keena, membre de la famille Treacy, doit demander mardi à la Haute Cour d’ordonner à Promontoria Aran, au receveur Luke Charleton d’EY et à d’autres d’exécuter ce que les hôteliers disent être un contrat pour leur vendre l’Ard Rí, ou de payer des dommages et intérêts. .

Elle a signé un reçu pour le dépôt, qui, selon elle, fait partie de la preuve à l’appui de l’affirmation selon laquelle il y avait un contrat pour lui vendre l’hôtel en tant que représentante du groupe.

La Haute Cour a rejeté la demande de Mme Keena en février 2019 au motif qu’elle n’avait pas établi de cause défendable, mais en octobre de l’année dernière, la Cour d’appel a décidé que sa cause devait être entendue.

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Cette décision signifie que la Haute Cour doit entendre le cas de Mme Keena et des Treacy selon lesquels un reçu pour le dépôt de 160 000 € et les courriels échangés entre les parties constituent la preuve d’un contrat pour leur vendre l’hôtel.

Promontoria Aran et M. Charleton affirment que tel n’est pas le cas. Ils ont demandé à la Haute Cour de rejeter la plainte dès sa première audience.

Autrefois membre de l’ancien groupe du jury, l’Ard Rí de 165 chambres est resté inutilisé pendant plusieurs années et n’était pas utilisé au moment où Treacys Hotels a proposé de l’acheter.

Son état a suscité des inquiétudes au niveau local concernant le vandalisme et les comportements antisociaux autour de la propriété.

Treacys Hotels s’est intéressé à l’Ard Rí en 2016, la même année où Cerberus a acquis des prêts garantis sur l’hôtel par l’intermédiaire de Promontoria Aran, et a nommé M. Charleton comme séquestre.

Bob Lanigan, un proche collaborateur du patron du groupe hôtelier, le père de Mme Keena, Jim Treacy, a contacté Terry Byrne de Cerberus European Services Advisors (Ireland) Ltd en novembre 2016 pour voir si la société américaine vendrait la propriété.

M. Lanigan maintient que M. Byrne lui a dit qu’il « exécuterait la vente » pour un montant de 1,4 à 1,5 million d’euros, bien que les défendeurs contestent cette affirmation.

M. Treacy a autorisé M. Lanigan à offrir à M. Byrne 1,6 million d’euros. Il a été affirmé que même s’il n’avait nommé ni M. Treacy ni le groupe, M. Lanigan avait par la suite confirmé à M. Byrne lors de conversations téléphoniques le 21 novembre 2016, que la personne qu’il représentait était prête à payer cette somme pour l’Ard Rí.

M. Lanigan soutient que M. Byrne lui a demandé de verser ce jour-là la caution non remboursable de 160 000 € à Ernst & Young – aujourd’hui EY – dans les bureaux des cabinets comptables de Dublin.

Il a également été affirmé que Mme Keena, M. Lanigan et M. Treacy se seraient rendus aux bureaux et auraient remis à 20h30 une traite bancaire de 160 000 € à Chris Allen, membre du personnel d’EY.

M. Lanigan maintient que M. Allen a confirmé qu’il s’agissait de 10 pour cent du prix de l’Ard Rí. Selon les allégations, le membre du personnel d’EY a ensuite établi un reçu, en utilisant une copie du projet, que lui, M. Lanigan et Mme Keena ont signé.

Un autre membre du personnel d’EY, Ciara O’Mongain, a signé comme témoin des trois, selon des documents judiciaires.

L’audience de la Haute Cour s’est largement concentrée sur la question de l’identité de l’acheteur, puisque M. Lanigan n’a pas précisé initialement au nom de qui il négociait.

Dans sa décision de la Cour d’appel, la juge Máire Whelan a déclaré que, en appliquant le bon sens aux circonstances, on pouvait affirmer que Mme Keena, membre de la famille Treacy, avait signé en tant qu’acheteur.

Ni les Treacy, ni EY, ni Cerberus n’ont voulu commenter.

2024-04-12 08:02:09
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