Le Maroc continue d’occuper une place stratégique dans les relations internationales et attire l’attention des grandes puissances mondiales. Cette semaine, le pays a été le théâtre d’une rencontre importante entre le directeur de l’Agence de renseignement américaine (CIA) et le chef de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), Abdellatif Hammouchi. Cette rencontre, qui s’est tenue à Rabat, a suscité de nombreuses interrogations et suscité l’attention des médias nationaux et internationaux. Dans cet article, nous allons examiner de plus près cette rencontre et ses implications pour le Maroc et pour ses relations avec les États-Unis.
Le directeur général de la Surveillance du territoire du Maroc, Abdellatif Hammouchi, a rencontré vendredi le directeur de l’Agence de renseignement américaine, William Burns, ainsi que l’ambassadeur des États-Unis au Maroc, Puneet Talwar, et certains de ses collaborateurs clés. Cette réunion avait pour objectif de faire le suivi de la visite de travail de M. Hammouchi aux États-Unis en juin dernier, au cours de laquelle il avait rencontré la directrice du renseignement national américain, Avril Haines, le directeur de la CIA, William Burns, et le directeur du Bureau d’enquête fédéral américain, Christopher Wray. Les entretiens bilatéraux ont porté sur l’évaluation de la situation sécuritaire et des risques associés au niveau régional, ainsi que sur l’examen des menaces et défis sécuritaires découlant de la situation tendue dans certaines régions du monde. La coopération entre la DGST et l’Agence centrale du renseignement américaine témoigne de la solidité et de la profondeur de leur coopération stratégique dans les domaines de la sécurité et du renseignement, confirmant leur volonté commune de renforcer leur coopération et de consolider leur coordination bilatérale dans la lutte contre le terrorisme et les diverses menaces à la sécurité.
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