Home » Sports » Le documentaire télévisé « Udo ! » fait penser à Udo Jürgens.

Le documentaire télévisé « Udo ! » fait penser à Udo Jürgens.

by Nouvelles

2024-12-23 18:30:00

Am 14. Dezember 2014 gab Udo Jürgens in Zürich sein letztes Konzert, und kurz vor Weihnachten starb er dann im Alter von 80 Jahren. In nur knapp einer Stunde Sendezeit sowohl an sein Werk, das mehr als 1000 Lieder umfasst, als auch an sein recht verwickeltes Familienleben erinnern zu wollen ist kühn – aber die Dokumentation „Udo!“ von David Kunac und Sebastian Dehnhardt versucht das.

Angesichts der Kürze zu erwägen ist freilich, sofern man noch in Kategorien des linearen Fernsehens denkt, dass viele sich direkt vor ihrer Ausstrahlung womöglich auch schon die mehr als zweistündige „große Eurovisions-Musikshow“ mit dem Titel „Udo Jürgens Forever“ angeschaut haben werden. Darin sollen Michelle Hunziker, Howard Carpendale, Wencke Myhre, Vanessa Mai, Conchita Wurst und viele andere die Musik von Udo Jürgens neu interpretieren. Beide Formate zusammen bilden einen „Udo Jürgens-Tribute Abend“ der ARD.

Papa, wo warst du?

Die Doku bietet neben Konzertaufnahmen, Musikvideos und Urlaubsfilmen von Udo Jürgens am Strand und im Motorboot vor allem Interviews mit seinen Kindern Jenny und John, seinem Bruder Manfred und seiner ersten Ehefrau Panja. Zusammengefasst, kann man sagen: Er hat ihnen allen viel abverlangt. John Jürgens fragt: „Papa, wo warst du?“, als er Bilder von dessen großer Tournee „Udo 70“ aus dem Jahr 1970 anschaut; Jenny erzählt, wie sie und ihr Bruder erst viel später von ihrer unehelich geborenen Schwester erfahren haben, der später noch eine zweite folgte, Manfred erklärt, sein Bruder sei trotz großer Beliebtheit immer einsam und letztlich ein Autist gewesen, und Panja schließlich berichtet von der „totalen Ohnmacht des Verlassenwerdens“, die sie damals aus der Bahn geworfen habe. Nach einer Zeit im Modus der „Patchworkfamilie“ hatte der schon seit seinen frühen Erfolgen als Schürzenjäger bekannte Udo Jürgens sich 1989 scheiden lassen und später noch mal geheiratet.

Avec l’histoire de l’enfance de Jürgen Udo Bockelmann, qui a pris son nom de scène Udo Jürgens dans les années 1950, les évaluations de son caractère par ses proches s’accordent quelque peu : l’image qui se dessine est celle d’une personne fondamentalement introvertie qui a toujours un grand trac et… Il avait peur de l’échec, mais d’un autre côté il appréciait vraiment la renommée et en profitait pleinement. On peut encore suivre la psychologisation que l’enfant auparavant malheureux et malade, qui a eu quatorze fois des infections de l’oreille moyenne, voulait toujours et a dû convaincre ses parents en tant que star adulte qu’il était vraiment devenu un artiste.

L’histoire de la République fédérale mise en musique ?

La partie historique professionnelle est cependant en partie en contradiction avec cette saga familiale quelque peu intime, et elle échoue tout simplement. Avec les deux paroliers Michael Kunze et Oliver Spiecker, les personnes essentielles à cette œuvre de chanson ont leur mot à dire, mais une évaluation plutôt noble comme celle de Spiecker selon laquelle Udo Jürgens a « marqué l’histoire de la République fédérale » et « toutes nos vies » en musique” reste alors quelque chose est suspendu dans l’air. Il aurait fallu beaucoup plus de preuves pour cela. Au moins un court passage sur le lien de Jürgens avec le mouvement de protestation est intéressant – mais vers 1968, un texte qui semblait étrange, voire involontairement drôle, comme “Chère patrie (…), la jeunesse attend ta main” serait intéressant. ont eu des étincelles beaucoup plus critiques que nous pouvons battre.

En ce qui concerne les archives de “Udo!”, une partie était déjà connue grâce au film “L’homme qui est Udo Jürgens” de Hanns-Bruno Kammertöns et Michael Wech, sorti il ​​y a dix ans à l’occasion de son 80e anniversaire. anniversaire. Avec un temps de jeu de 90 minutes, c’était aussi un peu plus équilibré. Néanmoins, ce film montre aussi de belles trouvailles. Il s’agit notamment de scènes d’une sorte de vidéo musicale au lit avec Françoise Hardy et de l’évaluation de son épouse Panja selon laquelle son mari et Hardy étaient « tous deux victimes d’une situation ». Et aussi l’évaluation critique d’un musicologue à la radio sur la question de savoir si Jürgens est « une tante de conte de fées du capitalisme ». Pour Theodor Köpl, “le succès d’Udo Jürgens s’est construit sur le malheur et l’insatisfaction de son public”. Le chanteur s’adresse principalement à ceux qui « se retrouvent sous les rouages ​​de notre époque pauvre en émotions, trop technique et rationnelle ».

Udo Jürgens en tante de conte de fées : L’homme qui a toujours aspiré à une image d’un maximum de sincérité, que ce soit sur scène ou dans les talk-shows lorsqu’il discutait de sa vie, n’aurait guère aimé cela lui-même. Mais cela s’accorde assez bien avec ses chansons, de « Greek Wine » à « Dream Dancer », jusqu’à son désir de bonheur immatériel – et on pourrait presque l’interpréter aujourd’hui comme un éloge.

« Oudo ! »le 23 décembre à 22h35 sur Erste



#documentaire #télévisé #Udo #fait #penser #Udo #Jürgens
1734968163

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.