Par NATION AFRIQUE
Le Kenya a confirmé son premier cas de Mpox au poste frontière de Taita Taveta avec la Tanzanie.
Le virus a été détecté chez une personne voyageant de l’Ouganda au Rwanda via le Kenya.
L’infection, causée par le virus de la variole du singe, se propage par contact étroit et provoque des symptômes pseudo-grippaux ainsi qu’une éruption cutanée douloureuse. La plupart des cas sont bénins, mais ils peuvent être mortels.
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Le ministère de la Santé n’a pas fourni d’autres informations sur cet individu.
Il conseille toutefois aux Kenyans d’être vigilants et de se laver souvent les mains pour réduire le risque d’infection.
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« Lavez-vous souvent les mains avec de l’eau et du savon ou un désinfectant pour les mains. Si vous présentez des symptômes, demandez conseil à un médecin et évitez tout contact étroit avec d’autres personnes… évitez tout contact étroit avec des personnes suspectées ou confirmées d’être malades », a déclaré le ministère dans un communiqué.
« La transmission de personne à personne peut se produire par contact direct avec une peau infectée ou d’autres lésions, par exemple dans la bouche ou sur les organes génitaux.
« La maladie peut également être transmise par des gouttelettes respiratoires. »
Le virus est endémique en République démocratique du Congo, ainsi que dans les zones forestières d’Afrique de l’Est, d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest.
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Plus tôt ce mois-ci, le Kenya avait émis un avis de voyage à destination de tous les comtés et points d’entrée aux frontières.
Cette mesure a été prise en réponse aux récentes épidémies de Mpox en République démocratique du Congo, qui connaît actuellement la plus grande épidémie de cette maladie virale jamais enregistrée, avec des dizaines de milliers de personnes infectées en juin.
