Le livre de Yuval Noah Harari “Comment obtenir des amis des ennemis”

Yuval Noah Harari macht als Historiker das, was Historiker so machen. Er inspiziert Erfahrungsräume und formuliert Erwartungshorizonte. Vor einigen Wochen hat er mit „Nexus“ eine „kurze Geschichte der Informationsnetzwerke von der Steinzeit bis zur künstlichen Intelligenz“ vorgelegt und darin dem Rück- einen Ausblick zur Seite gestellt. Unter Umständen, so der Verdacht, reiße die entscheidende Kluft im 21. Jahrhundert nicht zwischen totalitären Regimen und Demokratien auf, sondern „zwischen Menschen und nicht-menschlichen Akteuren“. In seinem neuen Buch „Wie aus Feinden Freunde werden“ kommen jede Menge nicht-menschliche Akteure vor. Götter zum Beispiel, Zyklopen oder Sirenen. Und alle auftretenden Figuren geben sich gewissermaßen die Klinke in die Hand, denn der 1976 geborene Autor marschiert mit flottem Schritt von Gilgamesch zu Siddhartha zur Inquisition.

Mehrere Leitgedanken durchziehen seine Ausführungen, wobei der wichtigste so trivial wie einleuchtend anmutet: „Alles ist ständig im Wandel.“ Um das zu verdeutlichen, erzählt Harari etwa, wie der römische General Scipio die Metropole Karthago zerstört hatte, wie Julius Caesar und später dessen Großneffe Augustus die Stadt wiederaufbauten, wie Römer und Karthager zu Nachbarn wurden, wie die Leute immer mehr Latein sprachen, wie das Theater von Griechenland ins Römische Reich und schließlich nach Nordafrika gelangte. Historische Details fallen da schnell unter den Tisch, geht es doch in erster Linie um die Botschaften: Schubladendenken sei sehr schlecht, Menschen wegen ihrer Herkunft abzulehnen ebenso. Aufgeschlossen zu sein und Neues auszuprobieren zeuge hingegen von Vernunft und einem wachen Wesen.

Da wird nun jeder zustimmen, der einigermaßen bei Verstand ist, simple Wahrheiten lässt man sich nicht nur von Philosophen sagen, sondern gerne auch von philosophierenden Historikern. Gleichwohl wäre Hararis Buch ein bisschen dürftig ausgefallen, wenn es sich damit erledigt hätte. Wichtiger, als die richtige Message unters lesende Volk zu bringen, ist die Art, wie das geschieht. Inhalt? Schön und gut. Doch vor allem die Form ist ausgesprochen hübsch.

L’auteur décrit des événements qui se sont réellement passés, il nous emmène dans des endroits qui existaient réellement, il nous présente des personnalités qui respirent et se battent. Mais cela ne lui suffit pas. Pour rendre l’histoire plus vivante, il a inventé quelques chiffres. Ce sont des pilotes sympathiques qui nous conduisent à travers le fourré historique et essaient de tout clarifier en dialogue, par exemple, qui était si spécial sur l’invention de l’argent.

Ces impacts fictifs font du ruban un livre nouveau qui tourne autour des événements historiques, mais utilise souvent l’imagination comme obstétricien de l’authentique. En d’autres termes, le design contribue à faire sortir un monde de sa propre loi esthétique de la réalité. Ce n’est pas seulement une variante métaphorisée en quelque sorte de ce qui s’est passé. Cette procédure n’est nullement nouvelle, mais Harari écrit remarquablement délicate, il, “basé sur ce qui est connu”, fait des hypothèses – et le lecteur est heureux de le suivre.

Cela s’applique également aux excursions à la religion, par exemple lorsque la question se pose, comment c’est maintenant avec les dieux, Dieu et le ciel et l’enfer. L’histoire du prince de la lumière et du diable s’allume-t-elle? Eh bien, on peut dire que deux dieux résolvent un problème: pourquoi existe-t-il, s’il ne devrait y avoir qu’un Dieu basique et tout-puissant, tant de souffrances dans le monde? Avec deux dieux, dont l’un est mauvais, vous pouvez tout pousser de mauvais à sa place. Selon Harari, les chrétiens et les musulmans ont raconté l’histoire des deux dieux pendant longtemps parce que c’était tellement évident. En même temps, ils ont supposé que le Père céleste avait tout créé. Logiquement, aussi le diable. Mais qu’est-ce que c’est censé faire? Et pourquoi ne l’abolit-il pas à nouveau?

D’une manière ou d’une autre, les gens ont continué à “croire les choses qui n’ont pas beaucoup de sens”. En compensation, ils ont eu la “plus grande découverte de tous les temps”. Les connaisseurs de Harari soupçonnent où se passe le voyage, car non seulement dans son nouveau livre est la science la mauvaise force motrice de l’histoire. Déjà dans la monographie “Sapiens” publié en 2011, il a été remarqué à quel point l’historien Harari se rapporte peu aux sciences humaines et en particulier la littérature historique, mais se réfère en détail à la recherche scientifique. Dans “How Evle Friends devient des amis”, il dit: “La science est une méthode avec laquelle nous pouvons découvrir quelles histoires sont cohérentes.” En qui est raconté l’histoire de l’humanité pour les jeunes lecteurs.

Soit dit en passant, la culture comprend toutes ces choses pour Harari, que Gernot Böhme s’est excusée une fois pour les gens qui proposent des gens. En dispersant de petites fictions dans son rapport historique, qui aussi, vous savez déjà que de lui, en fin de compte, un pouvoir Jauchzer à l’idée qu’il pourrait être possible de surmonter la mort en donnant à ses lecteurs un mélange à partir d’un éloge de la science et d’un démonstration des possibilités culturelles, il réussit dans un livre recommandable et divertissant.

Yuval Noah Harari: “Comment devenir des amis des ennemis”. De l’anglais de Birgit Niehaus. Illustré par Ricarda Zaplana Ruiz. DTV, Munich 2024. 192 pages, née, 20, – €. De 10 ans